1. Félline - Une BioXXXgraphie (5)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... Félline s’écrasa contre le torse de Jean, vaincue. Le souvenir de l’auteur d’histoires pornographiques lui revint en tête, notamment une phrase qu’il avait dite de manière incidente, quand Félline lui avait dit que Jean était mathématicien : « Contrairement aux idées reçues, rien ne vaut un bon intello. » On n’aurait su mieux dire.
    
    — Chéri..., prononça-t-elle en l’embrassant, transportée d’amour.
    
    — Hé !, s’exclama Jean, surpris de ce qu’il sentait.
    
    Repoussant Félline vers le haut, Elsa s’était replacée au-dessus de Jean et l’accueillait en elle encore une fois.
    
    — Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps..., prévint Jean, qui serrait Félline sur sa poitrine.
    
    Je vais... Elsa, je vais jouir... Je...
    
    Le flot de sperme bondit jusqu’au fond de la matrice d’Elsa, provoquant en elle un nouvel orgasme. Quand elle eut repris ses esprits, alors que Jean mollissait en elle sans quitter sa chatte, elle se coucha délicatement au-dessus de Félline.
    
    Cette dernière goûtait l’instant, vidée de toutes ses forces, satisfaite comme jamais. L’odeur de son amant se mêlait à celle de sa meilleure amie. Il faisait délicieusement bon dans la chambre, dans la chaleur qu’irradiait Jean contre ses seins, Elsa dans son dos. Jean posa ses bras dans le dos d’Elsa et tous trois restèrent enlacés dans un moment de pure intimité, de pur bonheur.
    
    Elsa resta avec eux toute la nuit, poursuivant l’orgie jusqu’aux petites heures du jour, essayant toutes les combinaisons et toutes les ...
    ... positions. Pour la première fois, ils étaient trois à dormir dans le lit de Jean, repus de luxure. Les deux femmes avaient tellement léché tout ce qui leur passait à portée de bouche, s’étaient tellement embrassées, avait tellement bu du sperme de Jean à la chatte l’une de l’autre, que leurs langues leur faisaient mal. Elles avaient tant baisé, avec une telle force, et pendant si longtemps, qu’elles étaient courbatues jusque dans les épaules. Jean éprouvait à la base du gland une lassitude qui ne le quitterait pas de trois jours, comme si son sexe était anesthésié.
    
    Les règles étaient les règles : la troisième, notamment, devait s’appliquer à Elsa comme à n’importe quel autre amant que Félline avait reçu. La blonde quitta l’appartement sans espoir de retour ; mais le regret qu’elle en ressentait, elle n’était pas la seule à l’éprouver.
    
    *
    
    — Comment, pas retenu ?
    
    — Monsieur, comprenez-nous bien, reprit le directeur du département Mathématiques. Il regardait Jean droit dans les yeux et faisait front, sans ciller, à l’indignation du jeune thésard. La qualité de votre travail n’est pas en cause, pas le moins du monde, au contraire. Vos recherches portent sur des questions d’un extrême intérêt, et le comité directeur considère que vous possédez toutes les qualités requises pour diriger une équipe.
    
    — Alors ?
    
    — Alors vous avez toutes vos chances dans une autre faculté. Des postes se libèrent à Strasbourg et à Montpellier, peut-être même à Nantes.
    
    — Mais c’est au ...
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