Le fantôme du château de Mortequeue
Datte: 25/07/2018,
Catégories:
fh,
couple,
grossexe,
bizarre,
inconnu,
amour,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
fist,
fsodo,
jeu,
fdanus,
Auteur: Rosebud, Source: Revebebe
... vulve frémissante.
Elle se caressait tout en devinant, plus que regardant, le scénario de sa jouissance. Les mouvements de draps s’arrêtèrent. La Bérénice du film venait d’avoir son orgasme tandis que celle qui le visionnait s’en approchait à grands pas. Elle vit la forme spectrale se relever, sortir rapidement du lit et le contourner. Son cœur s’arrêta. Il allait passer juste devant la caméra ! Et elle verrait son visage. S’il en avait un.
Le passage fut très rapide, et ce qu’elle vit, conjugué à l’explosion orgasmique qui se jouait entre ses cuisses, faillit lui faire perdre connaissance. Malgré la furtivité de la vision, aucun doute n’était permis : son fantôme, cet être qui l’avait fait jouir, pourvu d’un membre s’apparentant à un bras d’enfant – et non pas d’un nouveau-né – n’était autre que Charles-Édouard !
Elle repassa le film, fit des arrêts sur image. C’était bien lui. Ou une version 2.0 de lui. Un Mister Hyde qui, par un phénomène inexpliqué, abandonnait le corps du Docteur Charles-Édouard Jekyll et son micro-pénis pour muter en cette machine à plaisir… Une drogue, sans doute. Un Viagra puissance dix ou vingt ? Qu’allait-elle faire à présent ? Lui en parler ? Chercher une explication rationnelle à cette mutation ? Ou ne rien dire et continuer à se faire – comme elle se plaisait à se le dire intérieurement, et dans les moments critiques à haute voix – « défoncer la chatte et exploser la rondelle ! » Les premières options furent vite écartées. Peu ...
... importait au fond pourquoi et comment, par quelle magie cela était possible puisqu’elle pouvait enfin jouir plus que de raison, et ce, sans même tromper son mari !
Le comportement de son époux restait inchangé. Il leur arrivait même encore de procéder à leur petit rituel « Strip - Pipe - Péné », comme elle le nommait désormais. Elle tentait de trouver des similitudes entre ceux-ci et les déferlements d’extase dont elle bénéficiait à la nuit tombée. Mais, au propre comme au figuré, c’était le jour et la nuit ! Autant le Charles-Édouard diurne semblait y mettre peu d’entrain et s’y adonner avec la même passion que lors de leurs parties de gin rami, autant son alter ego nocturne rivalisait d’inventivité pour la surprendre et lui donner du plaisir. Plaisir qu’elle contenait parfois difficilement, au risque qu’il se doute qu’elle avait compris son stratagème.
Elle veillait cependant à entretenir le mystère et ne pas, la nuit, lâcher l’une de ces petites phrases dont son subconscient, aux confins du plaisir, avait le secret, comme « Charles-Édouard, bouffe-moi le clito… », ce qu’il faisait d’ailleurs régulièrement et de fort belle manière. Une seule chose la troublait : avec l’habitude, elle remarqua que – outre une évidente différence de taille – le gourdin qui la pénétrait devant avait aussi une texture moins naturelle que la demi-portion qui lui visitait régulièrement l’anus. Elle tenta à plusieurs reprises de prendre en mains ou en bouche la version XXXXXXL, mais son amant se ...