1. La mère de ma copine Elodie (3)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... était. Arrivée dans le village en face nous sommes descendus dans le bois par un petit chemin ce dernier étant une servitude qui permet de nous rendre à Janvry à pied ou à vélo. J’ai toujours apprécié me retrouver en bas de ce chemin, car le silence s’installe à partir de ce moment-là; nous n’entendons plus que les avions passer au-dessus, ainsi que certaines voitures un peu bruyantes roulant sur l’autoroute A10. Je savoure à chaque fois ce petit coin de nature à proximité d’une cité-dortoir, il y a du gibier dans le bois et surtout énormément d’escargots de Bourgogne (mais ça, je ne devrais pas le dire). Par contre à chaque fois je suis catastrophé de voir le nombre de faisans qui ne s’enfuient pas quand vous arrivez, je me dis que les chasseurs doivent faire une véritable boucherie quand ils arrivent armés de leurs fusils.
    
    En traversant le bois juché sur nos vélos nous avons trouvé une petite clairière éclairée d’un soleil printanier qui voulait montrer oh combien il pouvait nous chauffer. J’ai suggéré à ma chérie que nous nous arrêtions pour nous allonger dans l’herbe parmi les campanules, les aspérules, les épervières, les Circées les jacinthes des bois et j’en oublie évidemment... Nous adorions nous étendre dans ces bouquets de fleurs odorantes et multicolores; nous restions là 20 minutes une demi-heure à écouter les oiseaux. Que se racontaient-ils, parlaient-ils de nous, savaient-ils que nous étions amoureux, savaient-ils que nous avions envie l’un de l’autre; de ...
    ... notre côté juste les entendre nous faisait du bien. Je venais à nouveau de recevoir un SMS heureusement que Élodie j’entendais rien. Les gazouillis plus tous les bruits, dont on ne connaissait pas la provenance; cela nous permettait de nous évader, sans pour autant avoir besoin d’aller bien loin. C’est dans ce contexte, la tête dissimulée dans les herbes, à surveiller la vitesse des nuages; que j’ai dit à Élodie que mes parents seraient heureux que nous réussissions enfin à nous rencontrer lors d’un repas dominical.
    
    Voilà quelque temps un rendez-vous avec été pris pour cette occasion mais avait été annulé suite à des soucis de santé pour mes parents. Au fond de moi j’étais pressé de présenter ma chérie à mes parents pour qu’ils puissent constater combien elle est formidable. Pour sa part Élodie était elle aussi impatiente de me présenter à sa famille, tout en sachant que sa maman était divorcée; elle travaillait beaucoup car elle avait un poste à grosses responsabilités. Pour l’instant nous étions là à glander dans les bois, en totale symbiose avec la nature; j’étais vraiment un homme heureux quand j’étais en compagnie de ma chérie. Cette dernière a décidé que nous avions suffisamment bullé, allongés dans l’herbe; et elle a décidé que nous allions continuer notre balade et rentrer par la même occasion. Ce qui m’éclatait, c’est qu’elle adorait faire du tout-terrain et rouler dans la boue. Elle avait le même point de vue que moi là-dessus, à savoir quand on se salit avec de la ...
«1...345...12»