1. La mère de ma copine Elodie (3)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... sur son corps était une de ses zones érogènes les plus sensibles. Je ne savais jamais si c’était la pointe de ses seins ou le tour son clito qui était le plus sensible quand je prenais toujours plaisir à exciter avec ma langue. De son côté Élodie, de temps à autre, venait me caresser le haut de l’entrejambe; et poussait la visite de mon corps jusqu’à mon petit trou. Elle savait que c’était l’endroit le plus sensible de mon corps et que ça lui offrait une séance de rodéo, car à chaque fois mon corps se contractait de plaisir. J’aimais l’odeur de son parfum, l’odeur de son corps, l’odeur de sa cyprine; tous mes sens étaient en éveil quand je lui faisais l’amour. En plus d’être une femme formidable dans la vie de tous les jours, Élodie était déchaînée quand nous faisions des folies au lit. Après 30 bonnes minutes de ses folies sexuelles, ma partenaire a fini par prendre son pied en poussant de grands cris et surtout en s’allongeant sur moi. À chaque fois elle se retrouvait épuisée, car son orgasme venait de très loin. Elle restait toujours un peu emboîtée en moi, car elle savait qu’en insistant un peu; c’est moi qui repartais en elle.
    
    Effectivement quelques minutes après elle, je prenais mon pied et lui déposais de grandes quantités de sainte liqueur au plus profond d’elle; j’avais l’impression qu’elle sentait mon jus se répandre en elle. Après l’acte amoureux, ma chérie était toujours très câline; nous nous sommes ensuite endormis histoire de reprendre des forces. Quand ...
    ... nous nous sommes réveillés vers midi, une bonne partie de la liqueur que je lui avais déposée était redescendue et maintenant répandue à la base de mon sexe. Ma dulcinée a décidé que nous allions rapidement nous restaurer et que nous irions ensuite à la banque, sa banque, en vélo; histoire qu’elle y dépose un chèque. Sa banque se trouvait dans la ville voisine dans la vallée le long de l’Yvette, elle avait été construite dans les années 70, sur pilotis c’est vous dire combien elle était proche de la rivière. C’est ainsi qu’en un quart d’heure, nous étions en survêtement on ne peut plus sexy sur nos vélos en train de nous rendre à la banque. Subitement j’ai senti une vibration dans ma poche de mon pantalon, je venais de recevoir un SMS; mais j’ai résisté à ne pas regarder car j’étais persuadé que c’était Geneviève .Je vous laisse imaginer que le plus dur a bien évidemment été de remonter sur le plateau. De mon côté j’étais assez rodé en vélo, il n’y avait pas de problème; par contre ma belle a bien galéré mais c’est la volonté qui a eu le dessus.
    
    Même quand elle faisait du vélo, Élodie m’excitait, j’avais envie de la coincer dans un champ et de lui faire plein de choses. Après de longs efforts pour remonter sur le plateau en longeant la N118, ma belle a décidé que nous passerions devant Carrefour pour aller faire du vélo dans les bois en face. En fait je n’avais pas vu mais dans son sac à dos il y avait de quoi boire et surtout un paquet de gâteaux pour se restaurer si besoin ...
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