1. La mère de ma copine Elodie (3)


    Datte: 25/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... boue; il n’y a rien de catastrophique, on laisse sécher et on brosse.
    
    Sur le chemin du retour nous avons vu des perdrix, des faisans et moult empreintes; le parcours que nous empruntions était toujours très sympa. Par contre, une fois rentrés à la maison, il fallait aller dans le local poubelle et rincer les vélos à grande eau. Une fois remontés dans l’appart, Élodie m’a dit qu’elle serait heureuse que nous finissions par faire domicile commun; que j’aille vivre chez elle ou le contraire. Elle m’a expliqué qu’à plus ou moins long terme elle aimerait fonder un foyer, ma belle savait ce qu’elle voulait; je la savais directive et c’est aussi pour ça que je l’aimais. Au fond de moi je me disais que si j’étais culotté, je suggérerais à Geneviève de tenter de trouver un poste pour ma chérie. Pour l’instant Élodie n’avait pas besoin de boulot, elle en avait un qui lui plaisait beaucoup et était déjà bien rémunérateur. Nous avons facilement passé deux heures à tirer des plans sur la comète, à envisager toutes les possibilités pour nous mettre ensemble.
    
    En fait j’avais l’impression que ma chérie voulait un peu précipiter les choses avec mes parents et sa maman, car manifestement elle ne voyait que très rarement son papa. À la sentir vouloir officialiser notre relation mon petit doigt me dit qu’elle avait une idée derrière la tête; et si elle voulait un bébé... Nous étions très proches d’un couple d’amis qui avait récemment eu un enfant et j’avais l’impression qu’Elodie tombait ...
    ... toujours gaga devant cette petite tête blonde. J’ai constaté une chose aussi c’est que à la fin des weekends que nous passions ensemble; j’avais l’impression qu’il nous était de plus en plus dur de nous séparer. J’ai enfin pu m’isoler aux toilettes un long moment, pour lire tous les SMS que j’avais reçu et qui étaient effectivement de Geneviève. Vu ce que j’étais en train de lire, il n’y avait pas à dire, Geneviève était chaude comme les braises; je pense que si elle m’avait eu sous la main, elle m’aurait violé. La fin de la journée s’est bien passée et nous avons été on ne peut plus sages dans la nuit. Nous nous sommes réveillés pleins d’énergie et sommes partis au marché à pied, ma belle adorait s’y rendre car on avait l’impression d’être au souk.
    
    Des dizaines de nationalités s’y retrouvaient en tant que marchands ou clients; il y avait un petit côté dépaysant tant il y avait du monde aux beaux jours. Ma belle avait l’habitude d’y acheter la plupart des produits frais pour la semaine plus des petites saloperies qui la faisait craquer, vous savez ce que l’on appelle les achats impulsifs; personnellement j’appelle ça des amasses poussière. En milieu de ce dimanche après-midi, Élodie s’en est allée chez elle car elle avait un dossier sur lequel elle voulait plonger pour être à la page le lendemain au boulot. C’est sur un gros câlin très amoureux que nous nous sommes séparés, en sachant que nous nous reverrions le weekend prochain; mais avec le doux espoir que nous puissions ...
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