1. Un jeu de société qui dérape, partie 3 : Calins, baisers, chattes rasées et profs pervers


    Datte: 24/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Polo_fr, Source: Hds

    ... semble aimer le jeu. Hugo est pret à se jouir dessus à tout moment. Thomas savoure lui aussi la situation, et Clara semble plus en retrait à présent. Quant à Noham, toujours entièrement habillé, il collectionne l'argent comme un proxénète. Il semble avoir jeté son dévolu sur Constance.
    
    C'est arrivé à ce point que le programme affiche : "Passage au niveau 3 - érotique". Clara, manifestement soulagée, s'écrie "Ca y est, on a terminé, on a dit qu'on ne dépasserait pas le niveau 2 !" Et elle se lève en se dirigeant vers ses vêtements.
    
    Instantanément, les plaintes fusent. Constance et Hugo s'écrient qu'il faut continuer encore, et Thomas la retient par le bras. "Mais non, voyons ma puce, on continue un peu. Fais pas ta prude !"
    
    "Hihi je fais pas ma prude, c'est juste qu'on avait dit niveau 2 seulement. Hihi"
    
    "Allez, encore un niveau et on arrête" propose Constance.
    
    "Alleeeeeez" s'écrie Hugo
    
    Thomas finit par convaincre Clara. Pendant ce temps-là, je m'avise que j'ai soif, et annonce que je vais à la cuisine, à côté, pour me servir un verre d'eau. "Est-ce que quelqu'un d'autre en veut ?"
    
    Derrière moi, Noham propose de ramener des verres et de l'alcool. Il me suit à la cuisine. Me voilà en train de remplir des verres d'eau au robinet lorsque je sens la main de Noham sur mes fesses. Je n'ai alors qu'une culotte. Il m'attire à lui d'un geste fort, puis me plaque contre le frigo et me roule une pelle.
    
    "C'est ça que tu voulais, hein, petite coquine ?"
    
    Le ...
    ... contact de mon dos contre le frigo m'avait fait frissonner. Noham prend mes deux seins dans ses mains et les malaxe quelques secondes, puis me donne à nouveau un long baiser, tout en me pinçant les tétons d'une façon qui devient vite douloureuse. Il les lâche bien vite, et me serre la fesse droite d'une main, puis me donne une claque sonore dessus. Sous le coup de la surprise, je ne réponds rien. Aussitôt, son autre main plonge dans ma culotte, parcourt ma toison et vient caresser mon clitoris.
    
    "C'est ça que tu voulais, hein ?" répète-t-il. "Mais tu sais pas comment l'avoir, c'est ça ?"
    
    Et en même temps, sa main quitte mon clitoris, descend plus bas, et je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin, puis un deuxième.
    
    "C'est ça", continue-t-il, "tu mouilles bien. Tu sais ce qui m'excites ? C'est les salopes. Soit une salope, excite-moi comme le fait Constance avec ses histoires qui sont sans doute de gros mythos, mais c'est pas grave."
    
    Ces deux doigts me ramonent le sexe sans ménagement, un peu brutalement. Je suis terriblement excitée, mais j'ai le souffle coupé, je ne dis rien.
    
    "Tu sais, salope c'est pas une critique hein, et encore moins une insulte. C'est la nature qui est comme ça. Les femmes sont faites pour se donner, pour exciter, c'est tout. Libère toi, sois une salope."
    
    Il ressort ses doigts de ma chatte, et me donne une violente claque sur la fesse droite, qui me fait mal. Il se retourne, attraper les verres et les alcools posés sur un plateau, et file vers ...