Un jeu de société qui dérape, partie 3 : Calins, baisers, chattes rasées et profs pervers
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Polo_fr, Source: Hds
... moment venu, et que vous reproduirez docilement. Au bout d'une demi-heure, il faudra encore changer. En effet, votre anatomie, que j'ai pu observer toutes les fois que vous étiez debout au tableau, m'inspire une action nécessaire : je vous allongerai donc sur le ventre, sur une table et, après avoir à nouveau pénétré votre chatte ruisselante, je forcerai d'un coup l'entrée de votre cul. Cela vous inquiétera peut-être au début mais - croyez moi, Mademoiselle ... - la sodomie est une pratique quasiment obligatoire quand on possède, comme vous, un si joli petit postérieur. Je vous sodomiserai donc avec douceur d'abord, mais avec vigueur. S'il faut vous maintenir pour vous tranquiliser, je le ferai avec force. Ma verge transpersera votre anus comme elle aura transpersé votre bouche et votre vagin. Ma bite aura bien vite connu tous vos orifices, ma chère petite Constance, vous crierez de plaisir à chaque mouvement. Puis, vous vous mettrez à genoux devant moi, toute ruisselante de plaisir, pendant que je réfléchirai à l'orifice que j'utiliserai pour jouir en vous. Au moment où j'écris ces lignes, ce choix n'est pas arrêté. Choisirai-je de déverser mon sperme dans votre bouche candide, celle-là que j'aime tant à écouter donner les bonnes réponses en cours ? Ou bien prendrais-je votre chatte, votre trésor, au risque de vous engrosser si vous ne prenez pas la pilule ? Ou bien alors déciderai-je de souiller votre petit cul, celui pour lequel je vous fais si souvent passer au tableau - ...
... et donc vous faire à nouveau allonger sur le ventre, afin de vous sodomiser encore plus profondément que précédemment - arrivé à un certain point, le pilonnage sera tellement intense, vous vous sentirez enculée avec une telle vigueur, que vous crierez vous aussi. Que faire, donc ? Ce choix est encore à éclaircir. Sauriez-vous que décider ?"
"Ouah, ça c'est un prof pervers"
"Hihi, c'est un fou, hihi."
"Je pense qu'il devait se branler sur ce texto", ajouta Constance. Le lendemain, il était tout rouge en me voyant, il m'a plus jamais adressé la parole. A toi de jouer, Julie."
J'obtempère pendant que chacun continue de parler de Monsieur Jean, et tombe avec satisfaction chez Noham qui hésite avant de me laisser jouer un gage (le salaud !). Le gage est clair : "Noham, retire le soutien-gorge de Julie." Je me lève, toute guillerette. Noham s'approche de moi, de face. Il est toujours entièrement habillé ! Avec un petit sourire goguenard, il passe ses bras sous mes aisselles, et d'un geste expert, dégraffe mon soutien-gorge et dévoile mes deux beaux seins bien ronds. Alors, sur un coup de tête, j'approche mes lèvres des siennes et lui vole un bref baiser. Mais il se recule et proclame "Ah non, mademoiselle, vous brûlez les étapes ! C'était pas dans le gage, ça."
Je suis vexée comme un pou par cette rebuffade. Les tours et les gages se succèdent, "Thomas doit lécher et sucer la lèvre supérieure de Constance", ce qui semble plaire aux deux participants. Constance, nue, ...