Un jeu de société qui dérape, partie 3 : Calins, baisers, chattes rasées et profs pervers
Datte: 24/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Polo_fr, Source: Hds
... bon, c'était que ça, quoi."
"Mais ça s'est pas arrêté là !" s'exclame Constance. "Il m'a envoyé des mails, puis des textos, sous des prétextes divers."
Clara joue en même temps que Constance parle, tombe sur une case qui lui fait gagner de l'argent et... elle le redépense pour racheter sa culotte ! Manifestement, la coquine ne l'est pas tant que ça, et essaie de se couvrir un peu.
"C'est qu'il fait froid hihi."
"Attends", lui répond Thomas, "je vais augmenter un peu le chauffage là."
Constance continue de parler : "Moi, par texto, ça me faisait marrer de lui répondre, et le truc est monté progressivement. Comme je lui avais dit que j'avais pas de copain, il me posait des questions comme 'et vous, Mademoiselle ... si vous aviez un copain, que voudriez-vous qu'il vous fasse ?', des trucs comme ça."
"Chauuuud !" s'exclama. "T'as gardé ces textos ? C'est allé plus loin irl ?"
Constance lance les dés, achète un nouveau terrain, et continue à parler : "A un moment, les textos sont devenus vraiment hots. Il faut dire que de mon côté je commençais à le chauffer un peu aussi, puisque je lui avais dit 'et vous, si vous étiez mon mec, vous me feriez quoi ?' Et là, il me répond ça. Attendez, je dois en avoir gardé une copie dans mon téléphone. La voilà !"
Et Constance présente son téléphone à Thomas, à sa gauche, qui saisit l'objet, fait remarquer qu'il y avait plusieurs messages qui se suivaient, et lit (son visage va passer par de nombreuses mimiques au fur et à ...
... mesure de la lecture, passant du rire à la consternation, puis à une excitation qui pouvait laisser penser qu'il allait peut-être éjaculer sur le champ) : "Mademoiselle, avec moi vous auriez le droit à un traitement de faveur. En effet, le dépucelage de vos orifices semble s'imposer. Vous avez 16 ans et n'avez connu qu'une brève relation médiocre qui n'a même pas mis votre sexe à la fête ! Dans ses conditions, laissez-moi vous le dire Mademoiselle : considérez-vous comme toujours vierge. Avoir subi le bref coït du braquemart insuffisant d'un chétif amant de 16 ans, ça ne fait pas de vous une femme. Ce qui ferait de vous une femme, c'est le traitement que je vous ferai subir. Tout d'abord, entièrement nue et offerte à mon regard, vous passeriez sous mon bureau. Je déboutonnerai ma braguette et gratifierait de mon sexe votre bouche voluptueuse. Je vous expliquerai, pendant que vous auriez la bouche pleine, la bonne façon de traiter le membre viril avec vos lèvres et votre langue. Puis, au bout d'un quart d'heure de ce traitement, je vous allongerai, le dos sur une table, votre sexe ouvert à mes fantaisies. Après quelques caresses rendues nécessaires par votre inexpérience, j'acomplirai alors la deuxième action que je crois nécessaire à votre traitement, Mademoiselle : j'enfournerai mon sexe dans votre chatte mouillée, et j'accomplirai des va-et-vient qui vous laisseront entrevoir les délices de l'amour. Nous continuerons ainsi dans diverses positions que je vous expliquerai le ...