Le trio
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
ffh,
Auteur: Zébulon, Source: Revebebe
... caresse de Sabine. Il ne put résister à son envie irrépressible de venir y enfouir son visage. Carole se redressa un peu en le sentant puis replongea vers son ouvrage. Antoine se mit à lécher le sexe de Carole à langue déployée tout en imaginant qu’elle faisait de même avec Sabine. Sa queue lui faisait mal à force de bander. Il avait hâte de passer à l’action, de pénétrer enfin ce trou ouvert sous sa bouche.
Mais Carole ne l’entendait pas ainsi, pas encore. Elle s’appliquait à envelopper le bouton d’amour de son amie dans un tourbillon de langue chaude et humide. Puis elle glissa un doigt dans le vagin inondé. Elle pensa qu’avec une telle lubrification la pénétration serait un jeu d’enfant tout à l’heure. Elle chercha du bout du doigt la petite zone rugueuse qui arrachait des cris de plaisir à sa partenaire. Elle la trouva bien vite et se mit à l’agacer par des pressions saccadées. Elle sentit tout à coup deux doigts d’Antoine la pénétrer. Tiens, se dit-elle, on a eu la même idée en même temps, marrant ! Elle se cambra pour accentuer le frottement des doigts sur son vagin. Décidément, ce gars apprend vite comment donner du plaisir aux femmes !
Sabine poussait maintenant des râles qui ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle ressentait. Ses jambes se mirent à trembler, mouvements incontrôlables générés par l’action conjuguée de la langue sur son clitoris et du doigt en elle. Jugeant que son amie se rapprochait trop dangereusement de l’orgasme, et qu’elle était ...
... désormais prête pour l’étape suivante, Carole cessa brusquement ses caresses, provoquant immédiatement un cri de déception. Elle se releva, faisant ainsi glisser hors d’elle les doigts d’Antoine qui s’en trouva bien marri. Elle lui fit signe de venir se positionner à côté de Sabine, qui avait ouvert les yeux.
— Maintenant, c’est l’heure de déballer ton cadeau ! lança-t-elle à son amie, toujours déçue d’avoir été privée de sa jouissance.
Pour la première fois depuis qu’ils s’étaient déshabillés, Sabine regarda Antoine. Ses yeux dévisagèrent le garçon, dont le regard brillait d’envie, et descendirent lentement le long de son corps, comme pour le jauger. Son regard s’arrêta sur le boxer, et elle eut un petit recul. L’objet inconnu se présentait devant ses yeux, déformant le vêtement en une longue pointe tendue vers elle.
— Allez, vas-y, déshabille-le ! l’encouragea Carole.
Sabine tendit timidement les mains vers le jeune homme qui s’approcha un peu plus. Elle saisit le boxer dont l’élastique était tendu à l’extrême. Elle le tira vers elle et le fit descendre. Le sexe érigé d’Antoine, libéré, fit un bond vers le haut. Sabine, surprise, lâcha prise et l’élastique claqua contre les cuisses.
— Oh…, fit-elle simplement.
Ses yeux étaient maintenant rivés sur le membre viril, le premier sexe masculin qu’elle voyait, comme hypnotisée par cette vision. La première chose qui la frappa fut la longueur et le diamètre. Elle n’avait pas imaginé qu’un sexe en érection puisse ...