1. Le trio


    Datte: 30/01/2018, Catégories: ffh, Auteur: Zébulon, Source: Revebebe

    ... chair ! Elle sentait son propre sexe couler, comme si une poche de liquide avait éclaté dans son vagin.
    
    Le sexe chaud, vibrant, vivant de Carole se mit en mouvement. La fente délicieuse remontait le long de sa jambe, comme si elle voulait y faire entrer son corps tout entier. Les lèvres laissaient derrière elles une trace humide dont elle sentait la fraîcheur sur sa peau. Elle espéra de tout son corps que ce voyage s’arrêterait sur son sexe, que son amie viendrait fusionner sa chatte avec la sienne, que leurs clitoris s’affronteraient dans un combat au corps à corps. Mais la chair liquide passa sur la hanche, remonta sur le ventre et vint s’empaler sur un mamelon turgescent. Carole écarta ses lèvres de deux doigts afin d’amener le téton sur son orifice, qu’elle essaya de combler avec la petite pointe. Puis elle glissa pour présenter son clitoris à ce petit monticule tout dur. Elle se frotta lascivement dessus, rythmant ses mouvements de petits soupirs.
    
    Subitement elle se releva et vint s’agenouiller au-dessus du visage de Sabine. Les narines de cette dernière lui signalèrent tout de suite l’odeur si familière, si suave et épicée, du sexe de son amante. Elle la saisit par les fesses et attira goulûment la chatte sur sa bouche. Ah, mon dieu, que c’est bon de fouiller cette chair offerte ! Sa langue s’activa tout le long de la fente, glissa le long des lèvres, plongea le plus loin qu’elle put dans le vagin béant. Elle voulait se repaître de ce jus délicieux qu’elle ...
    ... prélevait à la source, elle voulait emplir ses sens de cette chatte liquéfiée, offerte à toutes ses caresses, frémissant sous son appendice tout chaud. Elle ouvrit largement la bouche pour avaler ce sexe, elle le mâcha, le malaxa de la langue et des lèvres. Elle sentait sur sa lèvre inférieure le trou glissant du vagin et sur sa lèvre supérieure le petit point dur du clitoris. Entre les deux, sous sa langue, la chair chaude et douce de la fente ouverte, coulant en continu dans sa gorge. Elle aurait pu avaler cette chair pendant des heures, pour se souder à son amie en son point le plus chaud.
    
    Mais Carole s’arracha à cette délicieuse caresse. Elle voulait garder le contrôle d’elle-même, et de la situation. D’un coup d’œil, elle vérifia qu’Antoine avait gardé son boxer. Elle constata avec plaisir que la barre qui le déformait tout à l’heure était devenue un pic tendu perpendiculairement à son corps et qui faisait bailler l’élastique. Elle vint se placer entre les cuisses de son amie et entreprit de lui rendre ce qu’elle venait de recevoir. Constatant que la chatte était déjà largement inondée, elle dirigea ses caresses buccales directement sur le gros clitoris qui émergeait à présent de son capuchon. Au premier contact, Sabine se tordit de plaisir.
    
    Antoine s’était mis à genoux derrière Carole, qui était dans la même position. Sa fente grande ouverte prolongeait le sillon des fesses, encadrée par deux cuisses fermes et musclées. Les poils qui la bordaient étaient trempés de la ...
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