Le trio
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
ffh,
Auteur: Zébulon, Source: Revebebe
... garçons en mal de conquêtes s’approchèrent et tentèrent leur chance.
— On peut vous offrir un verre ? demanda le plus hardi des deux
— Non merci, on a de l’argent, répondit Sabine du tac au tac.
Les deux amies éclatèrent de rire à cette réplique. Les deux garçons ainsi éconduits partirent sans demander leur reste. L’apéritif terminé, elles allèrent dîner dans un restaurant italien. Au dessert, Sabine se retint de prendre des profiteroles au chocolat, tellement succulentes, mais tellement dommageables à sa silhouette. Puis elles gagnèrent l’appartement de Carole. Elles allèrent directement dans la chambre. Sabine se déshabilla, en regardant le sublime corps de son amie se dénuder.
— Y’a pas à dire, t’es vraiment trop mouillante ! s’exclama-t-elle quand la bellissime fut nue.
— Toi, je te vois venir, petite coquine ! répondit Carole en tendant la main vers le tiroir de sa table de chevet. Regarde, j’ai fait des emplettes !, dit-elle en brandissant un vibromasseur.
— Waooo, c’est mieux que ma vieille brosse à dents !
— Et plus gros qu’une carotte !, répondit malicieusement Carole. Mais tu verras que demain on aura quelque chose d’encore mieux…
Elles commencèrent alors ce qui était devenu un rituel entre elles depuis leurs premiers ébats au collège. Sabine s’allongea sur le lit, Carole vint s’installer à côté d’elle et l’embrassa. Elles étaient devenues expertes dans la montée progressive du désir. Il y avait un concours implicite entre elles, sans qu’elles ne ...
... l’aient jamais exprimé : celle qui serait la plus mouillée à la fin des préliminaires. C’est toujours Carole qui en sortait victorieuse, grâce à son imaginaire nourri de multiples expériences, alors que Sabine n’avait que leur relation comme référent érotique.
Avec un art consommé des préliminaires, Carole se mit à caresser sensuellement son amie, lui murmurant de temps à autre à l’oreille des mots tantôt doux, tantôt crus, posant alternativement ses mains et ses lèvres sur la peau frémissante. Elle prit possession progressivement des mains qu’elle effleura, des bras qu’elle caressa, des épaules qu’elle massa, du ventre qu’elle dessina, des seins qu’elle encercla et des cuisses qu’elle agaça. Elle se garda bien de toucher le sexe de son amie, maintenant largement offert. Elle aimait regarder cette chatte, descendre des yeux la douce pente boisée du pubis pour plonger son regard dans la fente gorgée de jus, ouverte en un appel brûlant aux caresses les plus douces. Cette vision déclenchait au plus profond de son ventre une coulée de lave chaude que son amie lécherait bientôt goulûment. Pour lui offrir une coupe encore plus emplie de son délicieux nectar, Carole enfouit son visage entre les cuisses de Sabine et lui délivra un de ces cunnilingus qui la faisait se tordre de plaisir.
Elle darda sa langue sur l’orifice encore vierge, essayant d’aller caresser la douce membrane qui ne savait pas ce qui l’attendait le lendemain. Elle but son suc comme à un calice. Puis elle remonta ...