1. De la rivière à l'évier


    Datte: 22/07/2018, Catégories: fh, couleurs, extracon, grossexe, poilu(e)s, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... atteint mon mont de Vénus, où il s’immobilise.
    
    Nous restons tous deux parfaitement cois, l’espace d’une minute ; l’atmosphère semble lourde. Ses lèvres se reposent sur mon cou, il se déplace un peu sur le côté et pose sa main libre sur mon buste. Je vois enfin une partie de son corps, et les poils qui recouvrent le dessus de ses doigts. Ils ouvrent deux boutons de mon décolleté, s’infiltrent dans mon soutien-gorge et extraient mes seins, non sans mal, de leurs bonnets. Il en saisit une pointe qu’il pince et triture de plus en plus fort tandis qu’il mord avec vigueur la peau de mon cou. Ces traitements virils me troublent profondément, et je sens mes lèvres qui sourdent et s’ouvrent à la caresse ; mais le grand Tunisien, actif avec ses dents et la main sur mes seins, laisse l’autre figée sur ma féminité. Un peu malgré moi, j’écarte les cuisses autant que je peux, entravée par mon shorty…
    
    Il murmure d’une voix rauque à mon oreille :
    
    — Tu veux ma queue en toi ?
    — Euh…
    — Oui, j’ai bien vu comme tu la regardais tout à l’heure au bord de la rivière. Elle paraissait te plaire ! Alors, dis-le moi, Élo, que tu as envie que je te la mette dans ta chatte !
    — Euh…
    — Dis-le alors !
    — Oui, j’ai envie…
    
    Dun geste autoritaire, il me lâche le sein et fait glisser mon shorty vers le bas. Je soulève une jambe pour l’aider. Je devine qu’il descend son jogging, et sens contre mon sexe son membre érigé. Il s’accroupit légèrement et, beaucoup trop lentement à mon goût, me pénètre ...
    ... peu à peu. Je me sens humide et accueillante à sa pénétration. Il progresse inexorablement en moi ; mes chairs se distendent : il est gros, il est long… Tellement long que, sous sa lente poussée, je me retrouve sur la pointe des pieds, les coudes au bord de l’évier, courbée en avant. J’ai l’impression qu’il me remonte l’utérus tant il s’enfonce en moi, et je profère d’étranges sons. Une fois ses bourses contre mes fesses, il s’arrête puis se retire avec la même exaspérante lenteur ; il sort complètement, me laissant une désespérante impression de vide. Nouveau temps mort, puis il reprend son va-et-vient cruellement lent avec une maîtrise inconnue pour moi, plus habituée aux étreintes rythmées. Je ne résiste guère à ce traitement nouveau, me contracte, me relâche, l’inonde et m’affale vers l’avant dans l’évier.
    
    Je reprends connaissance en l’entendant me susurrer :
    
    — Tu vois, la bite à Saïd, elle est bonne !
    
    Je ne réagis même pas aux propos incongrus. Il me soulève sans difficulté, telle une poupée de chiffon, et me retourne face à lui, assise sur le plan de travail. Il tire sur ma robe pour dénuder complètement ma poitrine, la regarde l’air gourmand, ôte son tee-shirt et me soulève les cuisses pour les poser sur ses larges épaules. Mon shorty pendouille de manière grotesque à une de mes chevilles, étendard ridicule de mon abandon coupable. Cette fois-ci, je l’ai de face, avec son dru manteau de poils. Et l’homme qui m’avait fait l’amour avec tant de douceur, à presque ...