Souvenirs d'un queutard (8)
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: celestin999, Source: Xstory
... mon dos, la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche grande ouverte Christine me laissait fouiller les profondeurs de son ventre.
" Oui !!!! Oh oui !!!!!!!! Oui !!!!!! Oui !!!!!! Je bougeais juste un peu comme pour trouver ma place.
Ses soupirs se sont transformés en gémissements et en geignements de plus en plus fort m’obligeant à poser ma main en bâillon sur sa bouche.
(Quelque temps après avoir emménagé avec elle j’ai acheté un magnétophone pour l’enregistrer à son insu pour qu’elle s’entende jouir ; magnétophone qui me servit également pour un autre évènement dont je ferai la narration dans la 2e partie)
Sa jouissance éclata brusquement, emportée par la vague du plaisir, me serrant contre elle, doigts plantés dans mon dos, ventre offert, gémissante, d’abord frémissant son corps fut secoué de spasmes qui faillirent me désarçonner.
" Oh que c’est bon..... Jamais comme ça... " ne dit-elle après un moment de récupération.
Planté en elle, il n’y avait plus que mes testicules hors de sa chatte, en appui à l’entrée de son dernier rempart j’ai joui à mon tour l’arrosant de mon sirop chaud et épais.
Elle a dû sentir au moins mes trois premiers jets, par trois fois elle soupira
" Oooooooooooooohhhhhhhhh " " ooooooooooooooooohhhhhhhh " " ooooooooooooooohhhhhhhhh "
Giclées de semence qui eurent pour effet de lui provoquer un deuxième orgasme auquel je ne m’attendais pas, ni elle non plus. Un bras sous ses reins je la tenais ferment afin de finir de me ...
... vidanger. Elle n’avait jamais joui deux fois de suite.
Enlacés, Christine se lança en confidences, pour elle son mari avait une petite bite et des petites couilles, ne le sentait pas passer, baisait comme un lapin croyant lui faire l’amour ; ne l’avait jamais senti éjaculer et lasse d’être baisée sans plaisir quand ils faisaient l’amour c’était en " cuillère " ce qui lui permettait de simuler.
C’était physique, pour jouir il lui fallait un calibre de bonne longueur, de bon diamètre, sentir une bonne paire de couilles se vider.
Elle ressentait ce besoin de sexe depuis un certain temps, c’est pour cela qu’elle s’était laissée faire dans mon bureau. Elle avait eu un frisson en sentant ma semence s’écouler, d’où le " oh mon dieu ", vite fait elle s’était glissé un tampon périodique pour que mon sperme ne tâche pas sa jupe.
Nous avons refait l’amour deux fois ; nous avions trouvé chacun " chaussure à son pied ".
Pendant trois mois environ nous nous sommes vus un après-midi par semaine en faisant attention car elle ne prenait pas la pilule.
Son besoin de forniquer se développait et Christine devenait de plus en plus lubrique.
Elle n’avait jamais sucé de sa vie, mais s’y prenait très bien, gardant mon gland prisonnier entre sa langue et son palais comme si elle voulait à chaque fois aspirer directement ma semence depuis mes couilles.
Un jour, juste avant midi Christine entra dans mon bureau, tourbillonna devant moi
— Comment tu me trouves ?
— Ravissante ...