1. Souvenirs d'un queutard (8)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Erotique, Auteur: celestin999, Source: Xstory

    Christine était une collègue de travail depuis une douzaine d’années, mignonne petite brune aux yeux verts, cheveux ondulés tombant sur les épaules, environ 1,60 mètre, fine, bien proportionnée, à qui je donnais approximativement mon âge, soit dans les 36-37 ans à cette époque.
    
    Femme charmante et attirante physiquement, draguée régulièrement par certains collègues et clients qui se faisaient remette en place de façon si magistrale que je n’avais jamais rien tenté.
    
    Habillée strictement, jupes ou robes au niveau du genou, chemisier toujours fermé, boulot terminé retour à la maison, quand il y avait un pot elle buvait un verre et regagnait le domicile conjugal ; bref rien qui pouvait prédire ce qui allait se passer.
    
    Nous étions fin septembre, nous avions travaillé ensemble toute la journée. Je venais d’éteindre les néons de mon bureau et seules les lumières de la rue dispensaient leur clarté.
    
    Nous nous sommes retrouvés face à face l’un contre l’autre, je pris Christine par la taille, l’attirant lentement contre moi, mes lèvres sur les siennes je glissais ma langue dans sa bouche, échangeant avec elle un long baiser. Ma collègue se laissait faire, nouant lentement ses bras autour de mon cou. Devant son attitude inattendue je remontais une main et caressais sa poitrine. Derrière un soutien-gorge souple je trouvais de petits seins mais qui remplissaient bien ma main.
    
    Je devais agir vite avant qu’elle ne refuse d’aller plus loin. Déboutonnant son chemisier de bas en ...
    ... haut, une main dans son dos je dégrafais son soutif sans précipitation et emprisonnais son sein gauche. Sa peau douce, ses seins étonnamment fermes aux tétons dressés étaient agréables à palper. Sans perdre de temps je montais sa jupe sur ses hanches.
    
    Là je tombais sur un collant remonté très haut et une culotte. On ne pouvait pas dire qu’elle avait prémédité la chose. Je fis glisser collant et culotte à mi-cuisses et enveloppais sa petite motte, insinuant mon majeur entre les bords de sa fente pour explorer les replis de son intimité et l’entrée de sa grotte. Christine gémit
    
    — Hhhhhhhhhhhhhhha !
    
    Depuis que je baisais je n’avais jamais trouvé une vulve aussi gluante en quelques secondes.
    
    Le souffle court Christine se laissait fouiller, s’offrait aux caresses intimes et profondes de mes doigts.
    
    Contre mon bureau je la fis basculer sur le dos et dégageais une jambe du collant et de la culotte. Etonnement souple Christine m’écartait ses cuisses façon " grenouille sur le dos " et m’offrait sa chatte. Je lui massais le pubis tout en fouillant d’un doigt sa vulve juteuse à souhait.
    
    Allongée sur mon bureau, à part le sous-main, pour son dos ce n’était pas l’idéal. Avant qu’elle ne trouve la position trop inconfortable j’ouvris mon pantalon, baissais mon slip, et remplaçais mon doigt par ma queue raide dans son entrejambe.
    
    L’entrée de sa grotte était bien ouverte, son ventre chaud. Je l’enfilais lentement de toute ma longueur savourant ce moment que certains de ...
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