Souvenirs d'un queutard (8)
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: celestin999, Source: Xstory
... mes collègues auraient voulu vivre. J’entrai en elle comme dans du beurre, son fourreau tapissé de mouille épaisse et gluante s’ouvrait sur mon passage. Au fond d’elle, en appui à l’entrée de son jardin d’amour elle lâcha un
" Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh ! " de plaisir, d’étonnement ou de surprise. J’appris plus tard qu’elle n’avait jamais été pénétrée aussi profondément.
Je montais et descendais deux ou trois fois en elle et m’immobilisais. Collé à sa vulve, planté jusqu’à la garde j’ai commencé à faire de petits mouvements circulaires avec ma tige, comme pour élargir l’entrée de son vagin, le bout de mon sexe frottait l’entrée de son utérus, Christine gémissait
" Aaaaaaah... " " aaaaaaah... " " aaaaaaah... " " aaaaaaah..."
Sa respiration devenait rapide et saccadée, cramponnée à mon coup elle a joui exhalant des
"Ohhhhhhhh oui !!!! " " ohhhhhhh oui !!!! " sans fin
J’ai joui à mon tour n ne relâchant ses hanches qu’après la dernière contraction de mes testicules, me retirant ensuite lentement de son ventre.
Christine se rajusta rapidement dans la semi-obscurité.
— Il faut que je rentre vite sinon mon mari est capable de venir voir pourquoi je suis en retard.
Moi " On peut se revoir samedi après-midi ? "
C : " Oui....... Peut-être, tu me diras demain "
Sur le pas de la porte je l’entendis et vis fouiller dans son sac à main :
— Oh mon dieu...
— Qu’est qu’il y a ?
— Non rien..... Je t’expliquerai
Le lendemain je lui indiquais le ...
... motel où l’on se retrouverait le samedi après-midi.
Nue sur le lit, lumière allumée, Christine se libérait me laissant découvrir son corps. Seins en poire sans auréoles, de superbes tétons comme la phalange d’un doigt, marrons et bien dressés, ventre plat, une courbe de hanche qui invitait à la posséder, cuisses fermes, renflement du pubis couvert d’un petit triangle de fourrure frisée taillée court. Elle était bandante à souhait.
Nu à mon tour, lui montrant l’effet qu’elle me faisait, j’exhibais mon sexe en érection et mes testicules gonflés. Son regard était rivé sur mon entrejambe comme si elle n’avait jamais vu un sexe en érection ni une paire de couilles. Entre pouce et index je tirai doucement sur le prépuce décalottant mon gland dilaté. Je guidais sa main droite vers mes couilles qu’elle palpa avec hésitation et délicatesse du bout des doigts, remontant ensuite le long de ma queue raide.
Je massais le renflement de sa petite motte, bougeant un doigt dans son vagin Christine soupirait en s’ouvrant plus.
Sa chatte était comme un fruit mûr, plus je la caressais plus un jus épais s’écoulait.
A genoux entre ses cuisses écartées, sa fente bien ouverte, l’entonnoir de ses petites lèvres gonflées et engluées de mouille s’offrait à ma verge tendue. Fixant mon sexe elle me regardait le guider vers l’entrée de sa grotte. Calé dans sa corolle gluante je n’ai eu qu’à pousser, lentement je l’enfilais jusqu’à m’appuyer délicatement bien au fond.
Mains crispées dans ...