1. Ma femme, mon jouet sexuel. (2)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... dégoulinant de sueur, tripotait sa queue, et moi, je me faisais délicieusement téter la mienne.
    
    — Qu’est-ce qu’il vient faire là lui ? repris-je.
    
    — Ben, à la pause clope, il m’arrive de taper la discute avec lui. Il est passionné de cinoche. Il rêve de monter une boîte dans l’événementiel. En attendant, il fait déjà des reportages pour des mariages ou des trucs comme ça, en amateur pour arrondir ses fins de mois. Mais il a du matos de pro. Il pourrait sûrement te le prêter ou te le louer.
    
    Je réfléchis un court instant.
    
    — Il pourrait venir filmer lui même. Ça te dirait de faire ton premier film ?
    
    — Baiser devant la caméra avec un mec que je connais derrière... franchement, je crois pas que je pourrais. Tu vois le genre ? T’imagines les commentaires après ? "Alors, t’es content du film que j’ai tourné quand tu sautais la femme de Martial "?
    
    — Ouais... mais, il pourrait peut-être... pas faire que tourner ? Tu crois qu’il accepterait de se joindre ?
    
    — Oula ! T’es chaud toi, dis donc. Quant t’es lancé, tu t’arrêtes pas !
    
    C’est vrai que j’étais chaud. L’éjaculation me guettait et tout en me faisant bouffer la bite, je doigtais la femme pour bien la stimuler. Cette petite séance m’avait bien stimulé et ouvert des horizons nouveaux qu’il me tardait d’explorer.
    
    — Tu crois qu’il voudrait bien ?
    
    — Je le connais pas assez pour ça... mais un mec qui veut pas baiser ta femme... faut qu’il soit PD à 300 % !
    
    — Tu peux lui demander ?
    
    — J’vois mal ...
    ... comment lui demander ça. "Dis, tu veux pas venir chez Martial pour le filmer, lui et moi, en train de sauter sa femme ?"
    
    — Non. Pas comme cela, évidemment. On lui dit rien. Il vient juste pour filmer un..."évènement familial", et quand il verra de quoi il s’agit... Comme tu dis, s’il n’est pas de marbre...
    
    — OK, OK. J’crois que ça peut le faire... ouais... c’est sûr.
    
    — Tu l’appelles ?
    
    — Maintenant ?
    
    — Oui. Ben, j’ai pas son adresse et puis il est tard. Il faut que je rentre. Je passerai au bureau demain matin et l’appellerai.
    
    — Tututututt. Tu dors avec nous ce soir. On défait le canapé, il est plus large que le lit... et demain matin, on se prend un pied d’enfer en répétant pour demain soir, quand Octave sera là.
    
    — S’il est libre !
    
    — Je fonce à la boîte. Je passe au bureau du personnel. Je récupère ses coordonnées et demain matin, je l’appelle. Et s’il est libre, demain soir, on se fait un sextape d’enfer.
    
    Ma femme s’arrêta de me sucer. Elle reprenait peu à peu ses esprits ; et peut-être commençait-elle aussi à se dégriser.
    
    — J’ai pas très envie de recommencer, surtout devant un inconnu. Ce soir c’était sympa.
    
    — Ta gueule. Suce ! répondis-je.
    
    — Oui, reprit Martial, en s’allongeant entre les jambes. Je crois qu’on te demande pas ton avis. Demain, on se fait un méga sextape... Et il lui pinça le clitoris, en guise de signature du contrat.
    
    Quelques instants après, j’éjaculai dans la bouche de ma femme.
    
    Sans prendre le temps de me doucher, ...