1. Ma femme, mon jouet sexuel. (2)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Je leur demandai de changer de position. Loïc s’installa donc tout simplement le cul sur le canapé, ma femme se mit à quatre pattes devant lui, et elle reprit son zob ; quant à moi, je la fourrai brutalement. Elle encaissa le choc en laissant juste échapper un "ô" magistral, et empoigna le braquemart du gars pour le sucer à nouveau. Loïc bascula la tête en arrière, et croisa ses mains derrière le crâne, laissant paraître ses aisselles, moins bien entretenues que son sexe, des poils y repoussaient déjà.
    
    — Lèche-lui les aisselles !
    
    — Hein ?
    
    — Lèche-lui les d’ssous de bras, salope !
    
    — Mais, c’est dégueu... il a transpiré...
    
    — Et son bout... et ses roustons ? Il a été pissé... il a bien transpiré en te voyant... C’est pas mieux... Mais la bite et les couilles, ça, on ne sait pas refuser... Allez, lèche. Obéis, salope !
    
    Et j’assortis ma requête d’une grande claque sur le cul.
    
    Elle lâcha donc la bite, se haussa un peu, et se mit, après un ou deux coups de langue timides, à dévorer les aisselles avec ardeur. Le mec se laissa faire un petit moment puis la repoussa.
    
    — Mets ma bite entre tes seins.
    
    Elle le fit illico. Dès lors, il alterna :
    
    — Suce... Remets ma queue entre tes nichons... suce... remets... Putain qu’elle suce bien ta femme !
    
    — T’as vu ! C’est cool. Elle a une bouche à bites, hein ?
    
    — Le kif, le kif... C’est bon...
    
    — Tu la préfères dans la bouche ou la chatte ?
    
    — Partout man, partout... tout est bon pour ma bite... tiens, laisse ...
    ... ta place.
    
    Nous changeâmes donc de position.
    
    — Lèche-moi bien la queue... les couilles... le trou du cul maintenant ! dis-je en relevant les jambes et faisant le dos rond.
    
    — J’vais pas te lécher le cul. T’es malade. J’l’ai jamais fait. C’est pas aujourd’hui que je vais commencer.
    
    Loïc la saisit par les cheveux et lui tira la tête en arrière pour lui gueuler à l’oreille :
    
    — Qu’est-ce que tu comprends pas, salope ? Le patron veut que tu lui bouffes la rondelle, tu lui bouffes la rondelle ! Compris ?
    
    Elle cessa toute résistance et pendant qu’elle me léchait l’œil de bronze, mon complice la pilonnait. Il était complètement entré dans le jeu et j’appréciai de plus en plus sa participation.
    
    — Putain, t’es une chaudasse toi ! T’aimes la queue, hein ? T’aimes la queue ! T’es bonne... Tu la sens ma bite, là ? Tu kiffes de te faire prendre par une bonne grosse teub comme une pute devant ton mari hein ?
    
    Elle ne répondait que par des gémissements et des borborygmes.
    
    — T’aimes ça aussi, toi, la baise, hein, mon Loïc ? La vache, t’es endurant !
    
    — J’me débrouille... et puis, y a trois semaines que j’ai pas eu un plan cul... avec tout le boulot que tu me donnes, pas le temps ! Alors si je peux me venger sur ta femme ! Trois semaines à se vider les couilles dans le lavabo sous la douche ou la cuvette des chiottes, trois semaines de branlettes... alors je me rattrape... elle va dérouiller la chienne... et c’est... le... pied...
    
    — Et toi, ma chérie, tu aimes ? ...
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