1. Ma femme, mon jouet sexuel. (2)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Elle est bonne sa queue ?
    
    — Hmmmmm..... Ouiiiiiiiiiii..... ooooooooooooh...... t’arrête..... pas... encore, encore, encore...
    
    Je m’étais redressé pour profiter de la vue du gars qui la limait par-derrière. C’était vraiment un beau couple. Lui, infatigable, cramponné aux hanches ou aux épaules, poussait son dard dans le vagin en variant le rythme, l’inclinaison, le mouvement. Il la tirait sans ménagement. Elle, cheveux défaits, seins ballottants, yeux fermés, se mordait les lèvres de plaisir en continuant de gémir.
    
    Il me vint une idée. J’allai chercher mon iPhone et me mis à prendre des photos.
    
    — Tu fais quoi là ?
    
    — J’immortalise.
    
    — Euh... tu feras quoi ? Des photos après ?
    
    — Qu’est-ce que tu crains ? T’es célibataire non ?
    
    — Oui mais... les réseaux sociaux... Pas envie de me retrouver en spectacle... même si le spectacle vaut le coup.
    
    — T’inquiète, c’est juste pour créer une collection personnelle... Je photographierai tous les mecs qui vont l’enfiler.
    
    — Tous les mecs ? interrogea faiblement ma femme, comme essoufflée entre deux plaintes.
    
    — Bien sûr ! On va pas s’arrêter avec lui, hein, ma chérie ? T’aimes trop te faire troncher comme une salope là, non ? J’suis sûr qu’il y a plein de mecs qui rêveraient de te sauter comme ça !
    
    — C’est clair que ça doit courir les rues. J’ai plus d’un pote qui préférerait se taper ta meuf que la leur, confirma mon jeune padawan.
    
    Ravagée par l’orgasme, ma femme n’était plus en état de me répondre. Il ...
    ... n’y avait d’ailleurs rien à redire. Elle n’avait plus le choix. Elle accepterait maintenant toutes les bites que je lui présenterais. Et, si jamais elle avait l’idée de regimber, les photos qu’elle me laissait prendre serviraient de moyen de persuasion efficace.
    
    Je fis donc un petit reportage, alternant entre très gros plans et plans larges.
    
    — Putain, ce qui serait chouette, ce serait de faire un film, faut que je m’achète une caméra.
    
    — Demande celle d’Octave Ergébel.
    
    — Octave ?
    
    — Oui... c’est le... attends... un peu... on en reparle parce que... je sens... que...ça... vient... Là... putain, j’vais jouir.
    
    — Jute sur les seins, sur les seins...
    
    Lucille s’étala sur le canapé, et il vint s’appuyer sur le rebord, en fléchissant les genoux. Il déchargea en plein sur les mamelons et tout autour. Il y en avait sur le dossier du canapé, sur une joue, les bras, partout...
    
    — Ouah, beau tir !
    
    — C’est qu’elle m’a excité toute la soirée, dit-il en tombant lourdement sur le cul et en étalant bras et jambes.
    
    Quant à moi, je caressai la poitrine du bout du gland pour le couvrir de foutre et l’enfournai dans la bouche.
    
    — Pompe : Pompe-moi jusqu’au jus !
    
    Puis, m’adressant à Loïc :
    
    — Donc, tu disais, Octave Ergébel ? C’est qui celui-là ?
    
    — Octave, c’est le grand vigile black !
    
    — Connais pas !
    
    — Mais si, tu vois sûrement qui c’est. Un black, y en a qu’un !
    
    — Ouais, j’l’ai aperçu bien sûr, mais je lui ai jamais parlé.
    
    Tout en discutant, Loïc, ...