Merci pour tout
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
douche,
amour,
intermast,
Oral
fsodo,
nostalgie,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... s’endormir. Karine était, elle aussi, la proie de réflexions contradictoires mais les coupes de champagnes auxquelles elle était peu habituée la plongèrent assez rapidement dans un lourd sommeil.
Le samedi, comme convenu, ils se retrouvèrent dans un restaurant du centre-ville. Les premiers échanges verbaux furent un peu laborieux. L’apéritif, une fois bu, améliora la fluidité de la conversation. Et au moment du café, Philippe osa aborder les problèmes d’intendance concernant le loyer notamment. Ils se mirent d’accord sur la façon de procéder. L’après-midi, ils allèrent au cinéma puis firent une promenade en voiture sur la côte. Ils rentrèrent assez tôt pour prendre des pizzas à déguster chez Philippe.
Pendant que Karine rangeait la vaisselle, Philippe enclencha un CD de blues. Il s’approcha de Karine et la saisissant par la taille, vint se plaquer contre son dos et ondula au rythme lent de la musique. Cette ambiance musicale lascive, le frottement de son pubis contre les fessiers de Karine, ses mains qui maintenant étaient remontées le long de son corps et malaxaient avec douceur les seins, lui donnèrent une trique d’enfer. Sa queue raidie tapait contre les globes fessiers. Ondulant latéralement mais aussi verticalement, son membre se masturbait dans la raie des fesses.
En entendant la musique qui venait du séjour, Karine songea que Philippe avait envie de danser et elle fut un peu surprise de ce qu’il se positionne derrière elle pour cela. Bien vite, elle comprit ...
... son intention quand ses fesses ressentirent la pression que la queue de Philippe exerçait sur elles. Les mains qui vinrent emprisonner ses globes ne lui laissèrent plus de doute. Elle n’éprouva aucune difficulté à s’abandonner. Ses bouts de seins pointaient déjà en avant à la recherche de la caresse des doigts. Une démangeaison étreignait ses lèvres intimes et elle commençait à sentir l’humidité envahir ses cuisses. Sa tête se courba lentement en arrière et son corps s’alanguit, montrant son abandon au plaisir qui montait en elle.
Philippe sentait le corps de Karine qui doucement s’avachissait sur lui, son excitation était telle qu’il pensa ne plus pouvoir se retenir. Aussi appuyant de sa main sur la tête de Karine il la força doucement à se plier en avant. Soulevant sa jupe, il mit à nu le beau cul qui n’avait aucune protection. Trop excité et occupé à faire descendre pantalon et slip le long de ses jambes, il ne prit pas le temps de réfléchir à ce détail. Il se pencha en avant et ses lèvres vinrent baiser le blanc fessier, sa langue en parcourut la raie, titillant le trou rosé ce qui provoqua un frémissement de la peau tendue. La vue des gouttes de mouille qui lentement tombaient sur le carrelage l’incitèrent à venir coller ses lèvres contre le con ouvert et suintant. Sa langue en parcourait la fente et lapait cette cyprine bienheureuse. Sa queue douloureuse d’excitation exigea qu’il l’enfonce lentement dans ce réceptacle qui se referma sur elle.
Karine était déjà dans ...