Merci pour tout
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
douche,
amour,
intermast,
Oral
fsodo,
nostalgie,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... trempant le canapé de mouille et du foutre qui lentement ressortait de la chatte béante. Ils restèrent un moment l’un sur l’autre, appréciant cet instant magique qu’est l’après coït. Enfin repus et satisfaits, ils se relevèrent lentement, un peu sonnés mais heureux.
Ils se resservirent du champagne qu’ils burent lentement, appuyés l’un à l’autre sur le canapé, échangeant de temps à autre, un baiser. Philippe était aux anges. Il avait du mal à réaliser la félicité de sa situation. Une très jeune femme pour lui et apparemment si câline ! Un rêve ! Peut-être n’était-ce qu’un rêve ? Il allait se réveiller !
Karine songeait qu’elle venait de faire pour la première fois l’expérience de l’acte sexuel avec un homme d’une toute autre génération que la sienne. Elle était agréablement surprise du résultat. Mais elle s’abstint de faire un commentaire, par pudeur, ou par crainte de dévoiler son inexpérience des hommes mûrs.
Après la seconde coupe de champagne, Karine émit le désir de regagner son petit studio car le lendemain elle avait un cours de bonne heure. Philippe la raccompagna tout en regrettant, mais il n’osa lui en faire part, qu’elle ne passe pas la nuit avec lui. Karine avait bien pensé qu’elle pourrait rester jusqu’au lendemain moyennant qu’elle se lève plus tôt pour pouvoir récupérer ses affaires de cours chez elle avant de se rendre à la faculté. C’eût été faisable mais Philippe n’exprimant pas le désir qu’elle reste, elle s’abstint d’en parler. Avant de se ...
... quitter au pied de l’immeuble où logeait Karine, ils échangèrent un baiser dans lequel chacun mit une certaine retenue. Ils convinrent de se revoir le samedi suivant.
Philippe rentra chez lui, rangea un peu le désordre des bouteilles, verres et amuse-gueules avant de se coucher. Il éprouvait un sentiment de grande satisfaction. Il était heureux d’avoir pu faire l’amour à une très jeune femme qui lui plaisait. Il tempérait ce sentiment en songeant que ce bonheur avait un coût. Ce n’est pas la somme qu’il devrait y mettre qui le dérangeait mais le principe. Il venait de conclure un contrat d’échange commercial – le plaisir de sortir, de tenir dans ses bras une jeune et jolie personne contre un financement de confort. Certes, il faisait une bonne action en aidant Karine financièrement mais il rechignait à penser que son attitude n’était guidée que par l’intérêt.
Il eut du mal à trouver le sommeil, se fustigeant de trop réfléchir et trop tôt. « Profite et vois venir » admettait-il d’un côté mais sa conscience le titillait : « tu viens d’acheter une femme ! – Mais je ne l’ai pas forcé ! – Mais si tu voulais l’aider, tu aurais pu le faire sans contrepartie ! – Bien sûr, mais je ne suis qu’un homme, pas un saint. Et en plus, elle me plaît. – Arrête de penser sentiments. – Ce contrat n’est pas un contrat sentimental. – Et surtout ne t’avise pas d’y introduire des sentiments car, alors, tu souffriras.
Épuisé de retourner ses pensées contradictoires dans sa tête, il finit par ...