1. Une journée aux Andelys


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, ff, groscul, fépilée, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Anette, Source: Revebebe

    ... fesses en les malaxant un peu ; elle passa une main fureteuse entre mes cuisses jusqu’à l’entrée du vagin. Elle me donna une tape sur les fesses pour que je me retourne. Elle poursuivit sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses et atteignit ma chatte. Elle caressait doucement, les doigts enduits d’huile. Je sentais le clitoris qui sortait de son nid, se durcissait. Elle l’avait dégagé des lèvres abondantes et en frottait le petit gland tendu.
    
    — Tu as souvent fait l’amour avec des femmes ?
    
    La question me bouscula.
    
    — Non.
    
    J’allais dire « jamais ».
    
    — En fait, seulement avec une quand j’étais jeune.
    — Elle était belle ?
    — Oui, je crois. Enfin, oui, je la trouvais belle.
    — Elle était comment ?
    — Brune avec des yeux verts.
    
    Les deux hommes avaient enfilé leur peignoir blanc et passèrent devant nous. Ils nous saluèrent avec un grand sourire comme si nous étions du même club : deux homos mâles, deux homos femelles.
    
    Mathilde reprit :
    
    — Allez, raconte ! Elle était comment ? Tu l’as connue où ? Vous faisiez quoi ?
    
    Je n’avais pas très envie de répondre. Une fois de plus, je m’étais laissé embarquer sur un terrain sur lequel je ne souhaitais pas aller. Cette histoire était lointaine, mais presque encore douloureuse. J’avais été amoureuse.
    
    — Elle était très brune, plus âgée que moi. Cette histoire est ancienne ; pas très envie d’en parler.
    
    Mathilde ne dit rien mais je la sentais curieuse et un peu déçue de ma réponse.
    
    Je me tournai sur le ventre et ...
    ... fermai les yeux ; le soleil était juste dans l’axe et je sentais sa chaleur entre mes jambes que j’ouvris un peu pour exposer ma vulve.
    
    Mathilde s’était mise dans la même position.
    
    Nous avions sans doute dû nous assoupir, et c’est Maxime qui vint nous réveiller. Il devait avoir une vue imprenable sur nos fesses et nos intimités.
    
    Il vint s’asseoir à côté de moi et me caressa doucement le dos et les fesses.
    
    Il se pencha à mon oreille et me chuchota doucement :
    
    — Mathilde a raison : j’adore les gros culs !
    
    Je ne répondis pas et choisis de le prendre comme un compliment.
    
    Le soleil déclinait et nous sommes rentrées pour nous préparer pour le dîner. Notre hôte ne semblait pas encore arrivé.
    
    Je regardai rapidement mon portable : pas de message d’Alain. Je ne savais même plus si j’avais honte ou pas de ma conduite.
    
    Je restai un bon moment sous une douche presque brûlante. En sortant, je m’enveloppai d’un drap de bain d’une incomparable douceur.
    
    Que mettre pour le dîner ? Il fallait un compromis, comme toujours. Ne pas être ni trop classique, ni trop provocante, ni trop décontractée, ni trop sophistiquée.
    
    Mathilde entra dans la chambre sans s’annoncer, j’allais dire « comme d’habitude ». Je n’avais pas fermé la porte de communication. Elle portait une jupe beige pas mini, taillée en biais et un haut vert ras-du-cou mais décolleté quasiment jusqu’à la taille dans le dos, ce qui impliquait évidemment l’abandon de tout soutien-gorge.
    
    Elle parlait de tout ...
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