Sophie en pente douce
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
extracon,
poilu(e)s,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... dans les siens, il entame une lente progression. Il la distend, elle gémit de plaisir. Il se rend compte que le sien se décuple de la voir se tordre sous ses boutées, cette belle française, sa patronne, sa femelle, sa maîtresse. Lui, avec son épouse, ne cherche que son plaisir, lui, avec cette femme, veut son plaisir à elle. Sophie se sent remplie comme jamais par le pieu qui la bourre, Sophie se sent heureuse aux bras de son amant. Elle halète, elle hoquette, elle veut que cela dure une éternité, mais une houle sauvage monte du fond de ses reins, elle crie, il crie, elle l’inonde, il la remplit des jets puissants d’une onctueuse semence.
Les deux amants retombent, tendrement enlacés, furieusement encastrés. Sophie, dans ses yeux clos, a vu le paradis ; Sophie entre ses cuisses closes, garde sa virilité. Reprenant son souffle, elle fait courir ses ongles sur les épaules, le dos, les reins de son amant. Elle s’amuse à les entortiller dans sa fourrure laineuse. Celui-ci paraît presque s’être endormi ! Mais elle se sent bientôt quelque peu compressée, les cuisses écrasées contre son puissant torse. Elle tente, le plus délicatement possible, de dégager ses cuisses. Las, son mouvement provoque la sortie du membre viril de son ventre. La main devenue délicate de son amant prend la sienne, la glisse entre leur ventre et vient la poser sur l’objet du délit. Ses doigts rentrent en action, soupèsent l’objet de ses récents rêveries, part en exploration vers des bourses gonflées, ...
... lourdes de vie. La nature a doté son amant d’attributs qui feraient fantasmer toutes ses copines envieuses ! Elle sent, sous son action, le mâle, reprendre vigueur. D’une main ferme, il la couche sur le côté, lui écarte les cuisses, et la pilonne de nouveau. Par deux fois, Sophie atteint le nirvana avant que son partenaire, en longs jets saccadés, ne la remplisse de sa liqueur sacrée.
Lorsqu’elle revient à elle, honteuse mais heureuse, la jeune femme constate que l’homme a disparu. Elle regarde sa montre, son mari va rentrer. Pourtant elle hume les draps, preuve odoriférante de leurs ébats d’amour. Contre toute raison, elle ne les change pas…
Arrivé au bistrot, Kalim exulte devant ses potes.
— Je l’ai baisée deux fois, c’est elle qui m’a supplié, claironne-t-il à haute voix, devant ses amis médusés.
Ceux-ci, avides et veules, demandent des détails, qu’il fournit volontiers. Pensif, au bout d’un instant, Boubacar suggère :
— Si tu veux qu’on te croie, amène-nous des preuves ! L’autre côté !
Sur ce, Kalim s’éclipse pour regagner la tristesse du domicile conjugal. Il ne veut en aucun cas que Fatima, qui effectue parfois des extras chez les Girardelli, après des réceptions, ne vienne la retrouver pour l’houspiller devant ses amis.
L’adultère de Sophie prend presque un caractère de routine. Elle a tant besoin de satisfaire sa débordante sensualité dans les bras de son viril maghrébin que sa honte a peu à peu disparu. Elle reprend à nouveau la pilule et, au gré des ...