Sophie en pente douce
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
extracon,
poilu(e)s,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... pointant vers lui ; il distingue clairement l’admirable petit buisson châtain, soigneusement taillé autour de sa féminité. Elle murmure d’une voix rauque, tout juste audible par lui un « viens » plein de promesses et retourne, virevoltante, sans l’attendre, dans sa chambre. Kalim gare l’engin le long du mur, s’avance, s’arrête sur le seuil. Madame, assise sur son lit, la tête reposant sur une pile d’oreillers, le fixe d’un regard étrange. Elle a laissé son déshabillé ouvert, et pendant un long instant, il peut à loisir fixer ce corps si troublant. C’est la première fois qu’il l’observe, intégralement nue.
Ses seins, tels des obus pointant vers lui, se soulèvent au rythme de son souffle qui lui paraît bien lourd. Il sent sa virilité durcir et, sans quitter sa proie des yeux, il fait glisser combinaison et slip, émergeant à son tour nu aux yeux de la belle. Le regard de Sophie parcourt le corps viril. Il est incroyablement velu, une jungle noire le recouvre du haut du torse jusqu’aux genoux, des touffes de poils dépassent même de ses oreilles et de ses narines. Émergeant de ses buissons, au niveau du bas-ventre, pointe un sexe aux dimensions sensiblement plus imposantes que celles de son mari. Le gros champignon rose, au bout, est entièrement décalotté, et Sophie se demande si l’homme est circoncis. Un étrange flash lui rappelle qu’une de ses amies lui a raconté, un jour, avoir beaucoup plus de plaisir avec les hommes circoncis.
Tout en le fixant droit dans les yeux, d’un ...
... geste fort lascif, la jeune femme remonte lentement ses genoux vers son buste, ouvrant sa mystérieuse féminité au regard de son amant. Celui-ci s’approche du vaste lit, se penche. Jamais il n’a pu observer de si près l’intimité d’une femme. Le fruit est rouge-rosé, les grandes lèvres sont béantes, le gouffre semble briller. Il dépose un inattendu baiser sur l’objet du désir. La barbe naissante et la moustache pointue râpent le mont de Vénus. Elle prend un trouble plaisir à exposer ainsi son secret de femme aux yeux inquisiteurs, vibrants comme une caresse, de cet homme trop rustre. Elle tend les bras et l’attire contre elle, replie ses jambes entre eux. Kalim veut toucher ses seins, qui l’obsèdent depuis longtemps. Il soulève les jambes de la jeune femme, les dépose sur ses épaules, et gobe un sein tout en observant l’autre. L’aréole est large, rosée, le mamelon pointe de désir comme un petit sexe tendu. Ils sont doux, lourds, tels deux gros pamplemousses juteux. Il triture sans ménagement la chair, la flatte, en apprécie l’exquise plasticité. La femme gémit sous ce traitement viril. Il recrache un téton, sa bouche rejoint la sienne, il en force l’entrée, en viole l’intimité. Investir cette bouche pulpeuse est pour lui la preuve d’une possession totale. Sa moustache la pique, elle gémit, elle est bien, son ventre se sent trop vide, elle l’empoigne par le sexe et l’introduit en elle.
La voie est chaude et douce, Kalim s’engloutit dans l’antre si accueillant. Les yeux fixés ...