1. Sophie en pente douce


    Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, fhhh, couleurs, extracon, poilu(e)s, jardin, fsoumise, hdomine, cérébral, intermast, Oral préservati, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    Les rayons du soleil sont déjà chauds en ce début d’après-midi de mi-juin, et Kalim entrouvre sa combinaison de jardinier pour se rafraîchir un peu. Insensible à la magnifique vue sur la baie de Nice, il taille avec application les rosiers autour de la magnifique demeure des Hauts-de-Cimiez. Il a hâte de terminer sa journée pour retrouver, l’espace d’un apéro, ses potes. Il lui faudra, après, rejoindre dans son petit appartement quatre pièces de Saint-Laurent-du-Var, Fatima son épouse et ses quatre gamins, marmaille criarde et épouse ronchonne…
    
    Le parterre devant la terrasse terminé, il attaque le mur longeant les chambres. Arrivé devant celle de ses patrons, il remarque que la porte-fenêtre est entrouverte, et que le fin rideau blanc flotte légèrement au courant d’air. Il jette un coup d’œil mécanique par l’ouverture, et se fige. Le spectacle offert lui coupe le souffle.
    
    Allongée sur le ventre, la tête reposant sur les coudes, sa lourde chevelure dorée ruisselant sur des épaules, Sophie Girardelli, sa patronne, dort, uniquement vêtue d’un petit shorty rose. Le hâle caramel de son corps est mis en valeur par les taches plus claires de la plante de ses pieds et de la marque de son bas de maillot visible à travers le voile rose de la lingerie. Kalim a déjà épié sa patronne et ses amies, presque nues, au bord de la piscine. Outre un violent désir, il a éprouvé une certaine fierté car la beauté plastique de sa patronne dépasse largement celles des autres naïades, et il ...
    ... s’est particulièrement étonné de la tenue de sa poitrine qui, malgré un volume imposant pour la taille plutôt menue de sa propriétaire, paraît sculptée dans le marbre. La gymnastique a du bon ! Mais, bien entendu, il était resté chaque fois à bonne distance, caché derrière la remise à outils. La jeune femme, cette fois, est là à quelques pas de lui, presque à portée de sa main.
    
    Pris d’une soudaine inspiration, il sort son téléphone portable, et prend la belle en photo. Le déclic lui paraît faire un bruit d’enfer, mais heureusement le souffle régulier qui soulève l’opulente chevelure châtain clair déployée sur ses épaules le rassure. Elle dort toujours… Il se glisse par l’entrebâillement de la porte et pénètre dans l’immense chambre nuptiale entièrement meublée de blanc. Peu coutumier de la prise de photos avec son portable, il se rapproche et appuie à nouveau sur le déclencheur. Même bruit qui lui paraît assourdissant, même immobilité lascive de la jeune femme. Le jardinier distingue sous le flanc de la dormeuse la masse d’un sein un peu écrasé. Son attention se concentre sur le shorty de la belle. Une ceinture de dentelles roses plus foncées le maintient autour de la taille, les côtés des hanches sont presque intégralement découverts, les fesses à demi-nues, et la vallée plus sombre les séparant est clairement visible à travers le voile, comme le mince triangle blanc de peau vierge de toute exposition au soleil. Pris d’une frénésie artistique soudaine, l’homme mitraille son ...
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