Sophie en pente douce
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
extracon,
poilu(e)s,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... tend, s’arc-boute. Elle hurle son bonheur. Ses phalanges se contactent sur l’oreiller dans lequel son visage est enfoui, elles blanchissent sous l’effort, elle se cabre, elle rugit et une marée violente s’échappe de son sexe et coule le long du pieu de l’amant qui l’honore. Celui-ci, à son tour, se déverse en elle, en longues giclées de semence qu’elle accueille au plus profond d’elle.
Puis les deux corps s’affaissent, étroitement soudés entre eux. Leurs sucs, leurs sueurs, leurs odeurs s’entremêlent. Toujours encastrés l’un dans l’autre, ils récupèrent leur souffle. Sophie se retourne délicatement, laissant à regret s’échapper ce membre merveilleux, pour délivrer de douces caresses de reconnaissance à ce mari qui a enfin su combler sa sensualité bouillonnante. Cela faisait si longtemps qu’il avait pris son temps pour satisfaire les envies de sa femme… Ses yeux s’arrondissent d’effroi, une moustache étrange s’anime devant ses yeux, un nez proéminent la surmonte. Elle recule, effrayée. Devant elle, sur elle, dans elle, ce n’est pas André, son mari, mais Kalim, son jardinier ! Ses yeux sont revolver, des envies de meurtre la traversent. Elle se lève d’un bond, crie, court vers la salle de bain, essayant plutôt mal de cacher son corps nu à l’aide d’un drap du lit, claque violemment la porte. Le maghrébin, apeuré, se lève d’un seul coup, enfile son vêtement, s’esquive par la fenêtre…
Ulcérée, Sophie se précipite sous sa douche et dirige le jet sur son ventre. De longs ...
... filaments de sperme, mêlés à ses propres sucs, s’écoulent le long de ses cuisses. Elle règle au maximum la force du flot sur ses muqueuses intimes, encore hyper sensibilisées par le traitement qu’elles ont subi. Cela lui fait mal, mais c’est une catharsis pour elle. Elle est furieuse contre ce petit serviteur arabe qui a profité de son sommeil pour abuser d’elle. Cette atteinte si intime à sa vie de femme, de bourgeoise aisée, de maîtresse de maison exemplaire, de huit ans de fidélité, lui est insupportable. Elle demandera ce soir même à Georges de le licencier. L’eau peu à peu la purifie, elle retrouve un certain calme. Quel prétexte avancer pour demander à André le licenciement du jardinier ? Il a jusque-là, donné entière satisfaction, et elle ne peut lui avouer la vérité sur ce qui est arrivé. Peut-on parler de viol, lorsque la victime consentante a atteint un orgasme d’une intensité jamais atteinte précédemment ? Elle s’est donnée à lui, elle a pris du plaisir sous ses coups de mandrin ! Ce qui l’agace le plus, c’est justement cette infinie jouissance que cet intrus lui a donnée, ce manque de retenue de son corps lorsqu’il a subi tous ces virils assauts, le retour de cette sensualité exacerbée qu’elle croyait avoir à tout jamais enfouie au fond d’elle-même… Une fois lavée, récurée, purifiée, la jeune femme se précipite dans la chambre et ôte avec une certaine violence les draps du lit conjugal, témoignages éloquents de sa propre débauche. Elle les lavera elle-même, soucieuse ...