Sophie en pente douce
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
extracon,
poilu(e)s,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... émerge de son sommeil, plein de rêves érotiques. Il y a bien longtemps qu’André, son mari, ne l’avait réveillée de si charmante façon. Ses activités de promoteur immobilier à succès sur la Côte d’Azur ne lui laissent jusqu’à présent guère de temps de « s’occuper » de sa jeune épouse… Mais Sophie ne se plaint pas, si elle ne vit pas le grand amour-passion auquel elle aspirait, elle connaît une aisance matérielle à laquelle elle sait gré à son époux, et leur relation est sans nuage. Le problème qui la tracasse, plus que les quelques probables coûts de canif aux engagements de fidélité que devrait lui devoir son homme, fréquents dans son milieu, provient des exécrables relations qu’elle a avec Elodie, la première des trois enfants du premier lit de celui-ci. Il est vrai que seules cinq années séparent les deux jeunes femmes, et que la demoiselle est une peste crevant de jalousie devant la beauté de sa belle-mère !
Les doigts qui se meuvent en elles, mettent ses sens en feu, et les reins de la jeune femme vont au-devant d’eux quand ceux-ci font mine de se retirer d’elle. Sans se retourner, la tête toujours entre les coudes, elle replie ses genoux pour faciliter l’accès de sa féminité à ces inquisiteurs. Si au moins André pouvait l’amener à chaque fois aussi progressivement, aussi ingénument, au plaisir, lui pour qui, trop souvent, les devoirs conjugaux relèvent du sens premier de ce terme ! Lançant sa main vers sa hanche, elle fait glisser d’un geste sans équivoque un côté de ...
... son shorty sur la cuisse et miaule d’un ton ferme
— Prends-moi, je t’en supplie, viens tout au fond de moi !
Kalim n’en croit ni ses yeux, ni ses oreilles. Son inaccessible patronne, intouchable fantasme, lui demande d’ôter le dernier rempart qui la vêt et de la baiser comme une fille de joie ! En un tour de main, il se débarrasse de son bleu de travail et de son slip, et fait glisser le frêle bout de dentelle le long des cuisses fuselées. Son regard admire la magnifique croupe totalement dévoilée. Les lèvres de sa féminité sont d’un rose presque carmin, et les deux petites haies couleur châtain clair qui l’entourent, taillées au cordeau. Tenant son pieu à la main, il s’agenouille, hésite ; elle recule un peu ; il s’engloutit sans mal dans l’antre accueillant de la belle. Le fourreau est humide, brûlant, étroit. Ses doigts s’accrochent aux hanches élastiques, et il entame de puissants va-et-vient entre les reins de la jeune femme. Jamais son pieu n’avait connu une gaine aussi jouissive. Il la pistonne, avec cette force tranquille du mâle devant femme consentante. Elle s’ouvre à ses coups de boutoir, ruisselle, feule et gémit. Une des mains de l’homme s’avance, attrape un sein lourd, le taquine, le palpe, le triture, en attrape le téton qui pointe, le froisse sans ménagement. Elle apprécie, se cabre, et en demande encore. La magie de deux êtres, assoiffés l’un de l’autre…
Les cris de Sophie augmentent d’intensité, le clapotis des corps se fait plus prononcé. Elle se ...