Sophie en pente douce
Datte: 30/01/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couleurs,
extracon,
poilu(e)s,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... a précisé qu’il la souhaitait particulièrement désirable pour son rendez-vous de ce soir à l’hôtel. Son mari est pour deux jours à Paris, ses beaux-enfants avec leur mère, elle a congédié la cuisinière ravie. Elle sait, car il le lui a dit, l’effet que provoque chez son amant les talons hauts, tels que ceux qu’elle avait pour la première fois qu’elle l’a accueilli volontairement. Elle opte finalement pour une petite robe assez simple de stretch blanc, très moulante, au large décolleté en carré, s’arrêtant à mi-cuisses, avec de hauts escarpins assortis qu’il suggère. Elle n’a mis qu’une fois la robe de lycra, mais a pu constater l’effet qu’elle faisait sur les hommes. André lui a même confié qu’ainsi, il aurait du mal à la défendre en cas de viol ! Pour avoir l’air un peu rangée quand même, elle a noué son imposante chevelure en un chignon bien sage et des lunettes de soleil qui cachent son regard.
Le rendez-vous doit avoir lieu à 22 heures dans un hôtel de Saint-Laurent-du-Var, leRelais des Amis qu’elle ne connaît pas. Après un en-cas rapide, elle prend son cabriolet et se dirige vers le lieu de son rendez-vous galant, frémissante de folles envies. Heureusement que son GPS lui indique le chemin, le quartier fait vraiment zone. La rue est en pente, pavée. De nombreuses épaves jonchent le trottoir, elle se demande comment elle retrouvera son véhicule. Elle a du mal à marcher sur les pavés disjoints avec ses talons aiguille, manque plusieurs fois de s’étaler et doit ...
... supporter sans broncher les regards lourds d’envie des types qui la croisent. La façade duRelais des Amis est lépreuse, rien à voir avec une auberge pour week-end en amoureux. Elle pénètre dans un hall mal éclairé, à l’odeur fétide. Derrière le desk opère un gros bonhomme entièrement chauve, avec de petites lunettes, dont le regard vicieux l’enveloppe, genre épicier tunisien. Elle se sent détaillée, soupesée, déshabillée dans les moindres détails. Une voix aigrelette lui susurre :
— Mademoiselle ?
— Vous devez avoir une réservation à mon nom, Madame Girardelli, dit-elle en insistant bien inutilement sur le mot « Madame ».
— Oui, en effet. C’est pour combien d’heures ? rétorque l’hôtelier, feignant de ne pas voir le fard que pique Sophie de honte, qui ignorait jusque-là que des tarifs pouvaient être horaires.
— Heu, une nuit, Monsieur.
— Ce sera 100 euros, dit-il, en délestant rapidement la jeune femme de ses billets. C’est la 5B, au deuxième étage. Je vous accompagne.
C’est la première fois qu’il accompagne une cliente jusqu’à sa chambre. Il faut dire que les femmes seules sont rarissimes dans l’établissement, et que le lot qu’il a sous les yeux mérite qu’il remue son obésité.
Il la suit dans l’escalier, particulièrement pentu. Elle sent sur ses cuisses largement dénudées, le regard perçant du bonhomme, dont le souffle traduit l’embonpoint. Arrivés à l’étage, il passe devant elle, en se frottant sans aucune gêne sur la pointe de ses seins. Sophie regrette alors de ne pas ...