1. Mes premiers pas


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Tonio, Source: Revebebe

    ... campagne avec mon enregistreur et mes jumelles d’approche.
    
    Cette vie un peu bohème m’avait fait prendre un brin de retard dans mes études, j’avais déjà fêté mes dix-huit ans à l’entame de la terminale, cette année-là restera marquée pour toujours dans ma mémoire. Ce fut l’année de mon bac, ouais bon je l’ai eu à dix-neuf ans, et ce fut l’année de mes grandes découvertes en matières sexuelles.
    
    Le bac en poche, je ne savais pas trop quoi faire pour l’été, je n’avais pas trop envie de rentrer en famille. Thomas, mon ami des premiers jours au collège, me proposa de passer l’été avec lui. Ma mère qui entre-temps avait déménagé en Bretagne, en passant par le Jura et la Savoie, ne trouva rien à redire et m’envoya un petit pécule pour voyager un peu et participer aux frais du ménage de ma famille d’accueil. Cette participation m’ayant été catégoriquement refusée, mon pécule s’était arrondi.
    
    Les parents de Tom formaient un drôle de couple, dans la quarantaine l’un et l’autre. Lui, professeur de gymnastique, avait de la prestance et était plutôt bel homme. Elle était petite, courte sur pattes, ni belle, ni jolie, elle avait une poitrine plantureuse qui m’avait fait fantasmer plus d’une fois rien qu’à y penser, mais elle était douce et intelligente, elle enseignait la philo dans le même lycée que son mari où d’ailleurs elle était notoirement cocue, celui-ci la trompant avec toute la gent féminine. Il s’était fait une rigueur de ne jamais s’attaquer aux lycéennes, quand bien ...
    ... même elles seraient majeures. Selon la rumeur, qui semblait bien informée, il avait une préférence pour les femmes mariées ou en couple, cela n’offrait, selon lui, que des avantages.
    
    Paul, le père de Tom, était passionné de vélo et sillonnait la campagne tous les week-ends, j’avais découvert que ce n’était qu’une façade pour retrouver ses maîtresses dans les bois. Cet hiver-là, durant mes promenades, j’avais trouvé par hasard son jardin secret, une cabane au bord d’un étang. Durant la mauvaise saison j’avais observé ses allées et venues, ainsi que celles de ses conquêtes.
    
    La cabane n’était pas grande, elle se composait d’une pièce avec une grande cheminée en pierre, une table, quelques chaises et surtout un lit ; c’était l’extérieur qui était le plus agréable, la terrasse couverte avait la même taille que la pièce. Bien souvent il attendait assis dehors jusqu’à l’arrivée de la conquête du moment. Durant tout l’hiver, je ne pus rien voir, ni entendre, de bien intéressant. La rumeur publique voulait qu’il change de maîtresse toutes les semaines. Ce que j’observais était très différent, Martine prof de géographie, était l’unique visiteuse. Grande, mince, brune, la trentaine, divorcée avec des jumelles, physiquement pas mal du tout – bandante. Evidemment, j’avais fantasmé sur elle, comme je le faisais avec toutes les autres profs ou filles du bahut.
    
    Le mois de mai était très chaud, malgré l’approche du bac ou à cause de celui-ci, j’avais encore plus besoin de me défouler ...
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