1. Mes premiers pas


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, poilu(e)s, bain, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, Auteur: Tonio, Source: Revebebe

    ... ouvrit la bouche tout en serrant les dents, son souffle s’accéléra, elle lui maintint fermement la tête, brusquement elle se courba en avant, ouvrit grand la bouche, parla, cria, hurla, rejeta la tête en arrière, le corps arqué vers l’avant, ses muscles étaient tendus comme des cordes, elle essaya de le repousser, mais lui tint bon. Elle poussa sur ses jambes pour soulever son bassin, la tête à nouveau en avant elle l’encouragea, agita frénétiquement son ventre pour augmenter le plaisir, se tendit à nouveau en arrière comme un arc dans un long cri muet de jouissance, retomba enfin comme une poupée de chiffon, haletant comme si elle avait couru le cent mètres de sa vie. J’avais joui devant ce spectacle admirable, me demandant comment le siège avait résisté à un tel traitement. Il n’en avait pas fini avec elle et l’aida à se relever.
    
    — Tu veux me tuer ?
    — Il y a pire comme mort.
    
    Il la caressa partout, la lécha, l’embrassa ; puis elle se retourna, me faisant face, se pencha un peu en avant, écarta les jambes et s’appuya à deux mains à un montant de la terrasse, lui vint par derrière, la pénétra d’un seul mouvement, les mains sur les fesses, il commença directement sur un tempo rapide, puis au bout d’un temps alterna avec des périodes plus lentes. Je regardais à loisir son beau corps, des seins bien hauts, couronnés d’aréoles sombres, ils semblaient animés d’une vie propre, allant de gauche et de droite, je pouvais voir ses tétons tendus vers le plaisir, son ventre plat et ...
    ... sa touffe pubienne sauvage. C’est eux qui allaient me tuer, je bandais de nouveau et cherchais à me donner du plaisir devant ce spectacle. Les gémissements se transformèrent bien vite en hurlements, je n’eus pas besoin de mon micro directionnel pour les entendre. Ils se tendirent simultanément comme des cordes, il la poussait vers l’avant, elle reculait le plus possible.
    
    — Oui, prends-moi à fond ! gémit-elle.
    — J’ai envie de t’enculer ! souffla-t-il.
    
    Ce fut comme un électrochoc, elle arrêta net de bouger, se dégagea de son emprise, le laissant là la bite à l’air et se retourna d’un air vindicatif.
    
    — On en a déjà discuté, tu me sodomiseras lorsque tu auras quitté ta femme.
    — Tu sais bien que ce n’est pas possible.
    — Thomas est majeur, ta femme a un revenu, je ne vois pas où est le problème. J’ai bien quitté mon mari pour toi.
    
    « Putain, ça c’est du scoop ! »
    
    La scène était un peu surréaliste, elle avait encore les fesses rougies par le traitement qu’il lui avait infligé, il avait la tête basse et la queue pendante. Elle ramassa sa robe de tennis, l’enfila et partit d’un air de défi. Elle se retourna pour asséner le coup fatal.
    
    — Je t’interdis de la toucher, c’est elle ou moi. Entre cette grosse vache laitière et moi il n’y a pas photo.
    
    Il voulut répondre mais elle, courant, était déjà loin. J’étais choqué de la façon dont elle avait parlé d’Evelyne, même si ce n’était pas tout à fait faux.
    
    Il resta là prostré, puis rangea les sièges en se traitant de ...
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