Dentelle vert espoir
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
amour,
intermast,
entreseins,
Oral
nopéné,
Auteur: Nymphea, Source: Revebebe
... Tu gardes ta culotte ce soir. Ce n’est pas négociable.
— Mais…
— Mais rien du tout. Je veux que cette première nuit soit parfaite pour toi, pas de stress, rien du tout. Et je veux te prouver que cette nuit peut être « parfaite » comme ça. Maintenant, laisse-moi faire, à moins que tu ne veuilles que je m’arrête…
J’aurais protesté s’il n’avait concentré ses efforts sur la partie la plus sensible de mon anatomie.
Le tissu mouillé amplifie la caresse sur mon clitoris entier et la propage contre mes lèvres. Mon sexe tout entier profite de son massage. De son autre main, il joue avec mon sein gauche qui a repris sa liberté, s’est glissé hors de sa prison de coton. Mon téton se distingue, tout rose entre ses phalanges. J’ai envie de ses doigts en moi. Il accélère la cadence, je halète. Lorsqu’il fait tourner la pointe de mon sein entre ses doigts, je ne tiens plus. Mon bassin oscille à la rencontre de sa main, tandis que le plaisir explose dans tout mon corps. Je vois des étoiles sur mes paupières closes.
— Eh bien, tu sais exprimer ton approbation, dit-il en référence au million de « oh oui » que j’ai dû gémir, soupirer ou crier dans les dix dernières minutes. Ou peut-être cinq, cela faisait vraiment longtemps qu’on ne m’avait pas fait jouir comme ça.
Je lui tire la langue.
— Merci, je murmure pendant qu’il m’attire complètement sur ses genoux. Euh, je suis un peu mouillée, tu sais, je voudrais pas ruiner ton pantalon.
— Mouillée ? Vraiment ? J’avais pas remarqué… ...
... Dans ce cas, il faut surtout protéger cette jolie robe. Si tu m’autorises.
Je hoche la tête vigoureusement. De toute manière, on ne peut pas dire que cette robe m’habille encore beaucoup.
— D’accord. Mais il faut que tu enlèves quelques vêtements aussi. Par esprit d’équité.
— Marché conclu.
Ma robe s’envole par-dessus ma tête, elle qui ne rêvait que de s’enfuir. Elle va se poser délicatement sur l’accoudoir d’un fauteuil.
Il laisse ses doigts courir un instant sur ma peau nue avant de me faire glisser de ses genoux sur le canapé. Il se lève et déboutonne sa chemise, efficacement, il n’a pas l’air décidé à m’offrir un strip-tease. Pourtant j’apprécie la vue. Il m’est arrivé plus d’une fois au cours des derniers mois, je l’avoue, de penser à ses bras toujours bien soulignés par ses t-shirts en me caressant. Oh, j’ai l’imagination très fertile, et j’avais pensé à maintes autres choses, mais ses bras me faisaient particulièrement baver et j’avais joui plus d’une fois en les imaginant autour de moi. Et maintenant, je les ai vraiment rien que pour moi, pour une soirée au moins. Et le reste n’est pas mal non plus à ce que je vois, il est solide sans être excessivement musclé, comme j’aime. Je promène mes yeux sans scrupule sur son torse nu. Mais il n’a pas l’air décidé à enlever le reste.
— Ah non, tu ne gardes pas ce jean. Trop râpeux !
La bosse qui déformait douloureusement son pantalon n’est que plus visible dans son boxer noir. Je meurs d’envie de le toucher. ...