Dentelle vert espoir
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
amour,
intermast,
entreseins,
Oral
nopéné,
Auteur: Nymphea, Source: Revebebe
... localisées. Sa main sur mon flanc flâne, et je suis tellement sensible à cet endroit, à la limite des seins, j’ai envie de prendre sa main, de la coller dessus, pour qu’il arrête de frôler, de contourner. Sur ma cuisse ce n’est pas mieux, il serpente, plonge, frôle presque la dentelle de ma culotte, mais ne me touche jamais vraiment. Je commence à me tortiller. Instinctivement, j’écarte un peu les cuisses, soulève un peu mon bassin pour rencontrer sa main.
— Qu’est-ce que c’est que cette position, mademoiselle ? dit-il en riant.
Ma robe a tellement remonté qu’il pourrait s’agir d’un t-shirt. Ma manche gauche a fui, le col a suivi et glissé pour s’immobiliser à peine au-dessus du téton qui pointe très visiblement à travers le tissu diaphane. J’ai le souffle court et quand il frôle enfin ledit téton de deux doigts serrés, je laisse échapper un gémissement.
— Et même pas de soutien-gorge. Quelle dévergondée !
Il me nargue, mais je ne relève même pas. J’ai l’impression que je pourrais jouir simplement de ses doigts qui jouent de mon mamelon durci. Ça fait beaucoup trop longtemps que je n’ai pas eu de partenaire de jeu… J’écarte un peu plus les cuisses et me cambre alors qu’il presse mes seins l’un contre l’autre pour pouvoir appuyer en même temps sur mes deux tétons. Son bras m’enserre complètement et j’ai passé ma cuisse par-dessus la sienne pour mieux écarter les jambes. Je suis presque sur ses genoux et même si ce n’est pas exactement confortable, j’aime me sentir ...
... ainsi entourée, sa main gauche qui tient mes seins à travers la robe, l’autre qui agace ma cuisse. Mais j’aimerais plus… Il maintient la pression sur mes tétons et je gémis de plus belle. N’y tenant plus, je prends sa main et la guide jusqu’à mon sexe.
Je crie presque quand ses doigts atteignent mon clitoris. Le contact est modifié par le tissu entre lui et moi, mais il n’en est pas moins intense, simplement plus réparti. Il ne s’attarde pas et glisse le long de ma fente. Ma culotte est détrempée et s’enfonce d’elle-même entre mes lèvres. Il suit le chemin tout tracé, glisse de haut en bas entre mes lèvres, s’attarde à l’entrée de mon intimité, puis recommence encore et encore, frôlant à chaque fois le centre de mon plaisir.
Il me tient et joue de moi comme d’un violoncelle, chaque mouvement de ses doigts tirant un son différent de ma bouche, mes courbes vibrent sous ses mains expertes.
Il recommence, lentement délibérément, il trace la vallée qui s’ouvre entre mes cuisses, il glisse sur le tissu détrempé et chaque frôlement de son pouce sur mon clitoris m’arrache un gémissement. Je suis tellement mouillée, même à travers ma culotte tendue entre mes cuisses grandes ouvertes. Chaque fois qu’il survole l’ouverture de mon sexe, j’espère qu’il écarte mon string et y plonge un doigt, peut-être deux. J’ai envie de le sentir en moi.
— Je suis prête, je crois. J’ai envie.
— Prête à quoi ?
— À t’accueillir.
— Non
— Non ? Mais je suis toute mouillée ! Et j’ai envie…
— ...