Histoires de la Bienheureuse Agnès 05
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... Bernadette qui commençait à jouir. L'infirmière avait le regard des jours de cuites : un regard vitreux et vide, dont les mouvements oculaires semblaient n'avoir aucun sens, aucune suite logique...
- " A moi, salauds!..., gueulait la Bernadette au bord de la jouissance, vas-y mon gars pousse encore plus, je vais partir... Oh, putain... Il me faut une bite dans chaque main en même temps que j'ai le con rempli... Toi, viens!, fit-elle à Johann, qui de derrière elle, passa à côté, et toi aussi mon beau brun!", dit-elle à Adrien. Celui-ci monta sur la table et s'accroupit juste à côté de la tête d'Agnès, qui avait de ce fait les couilles du garçon à dix centimètres de son nez. La Bernadette entreprit de branler les garçons. Armand qui en face de la scène soutenait Elise se branlait lui aussi. Le Françou derrière la Brigitte en fit autant et la patronne, portant la main à sa chatte se frotta énergiquement le clitoris. Agnès, qui sentait qu'elle était de plus en plus saoule, incapable de reprendre son propre contrôle, commença à se caresser elle aussi, un doigt dans le trou du con resté très ouvert. Puis elle glissa sa tête sous les cuisses ouvertes d'Adrien, lui lécha les couilles et lui darda sa langue profondément dans le trou du cul. Le garçon n'en croyait pas ses yeux, ni ses sens...
Ainsi, tout le monde se branlait comme pour accompagner le godage de la Bernadette. Celle-ci était mûre et partit en torche. A une poussée d'Hubert, la bouteille refusa d'entrer à nouveau ...
... et ressortit sous la pression. La grande salope déchargeait. Le flot de cyprine opalescente et chargée en mucus, un temps retenu par la bouteille, jaillit au-dehors comme un geyser et un flot brûlant aspergea tous ceux qui étaient en face : Hubert, Armand, Elise... La cochonne délirait dans sa jouissance :
- " Putain de Bon Dieu, oh que c'est bon!!... Oooohhh oui!!... Ca soulage ça, de dégager comme ça... Ca c'est de la liqueur de salope, mes aïeux!!... Ah mes salauds, déchargez vous aussi... Aspergez-moi!! Remplissez-moi de foutre, que je le lèche!! ". Et la vieille garce continuait d'épancher ses flots de liqueur, tandis que Johann d'abord, suivi d'Adrien ensuite, lui déchargeaient sur les seins... Puis ce fut Armand qui lui expédia son foutre sur le ventre, suivi de près par Hubert qui se vida sur la fente ruisselante de la Bernadette... Quant au Françou, il déchargea dans la raie des fesses de Brigitte, qui elle aussi se faisait jouir avec un doigt dans le con... Agnès elle, étendue sous les fesses ouvertes d'Adrien avait pris la bite du garçon en bouche et suçait presque machinalement le reste de foutre qui en coulait encore. Elle sentit bien quelqu'un à l'autre bout de la table qui lui écartait les cuisses et lui passait sa langue dans la fente... Elle pensa, sans en être sûre, que ce pouvait être le Françou... Puis, plus rien. Elle se sentit partir et sombra dans une sorte de coma éthylique. Ivre morte elle était, incapable du moindre mouvement, de faire quoique ce ...