Histoires de la Bienheureuse Agnès 05
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... ".
Agnès tenta de résister un moment et ne desserra pas les dents. Mais le Françou qui en avait vu plus d'une, fit mine de l'embrasser sur la bouche. Agnès voulut esquiver le baiser, et tournant la tête fit un "Ahhh" de dégoût. Le vieux profita de la diversion pour lui verser le verre dans la bouche. Bien qu'elle essayât d'en rejeter la moitié, elle en avala une bonne partie. Le vin lui dégoulinait sur les seins et surtout dans le sillon entre les seins et venait lui coller les poils du pubis. Le Françou léchait les trainées de vin sur son buste, son ventre et jusque dans ses poils... Agnès eut de nouveau un haut-le-cœur, mais ne parvint pas à vomir les grandes goulées de vin qui lui brûlaient l'œsophage.
Sans ménagement la Brigitte qui était venue à sa hauteur, la couchait sur la table où elle se retrouvait de nouveau allongée sur le dos. Elle fit signe à Bernadette de la tenir de l'autre côté et à Françou de venir sur elle :
- " Allez mon Françou, monte-là bien et mets lui ton beau calibre dans la fente! ". Le vieux ne se fit pas prier :
- " Oui, oui... Patronne!... Tu peux compter sur moi!... dit-il en enjambant la petite infirmière. Je vais la baiser bien à fond!". Le Françou entreprit donc de la chevaucher. La belle Agnès ne desserrait pas les jambes, bien qu'au fond d'elle-même elle eut très envie de connaître enfin cet engin monstrueux en elle, ce membre si différent qui l'obsédait... Brigitte était repassée au bout la table, aux pieds d'Agnès :
- " ...
... Hubert, Adrien, écartez-lui bien les jambes! ". Les deux garçons empoignant les chevilles de la belle bourgeoise et y pesant de tout leur poids lui écartèrent les jambes, non sans difficultés. Agnès résistait de tout son corps. Elle savait que si elle laissait le vit monstrueux du Françou effleurer sa chatte, celle-ci l'avalerait sans qu'elle puisse faire quoi que ce soit et elle serait vaincue... Mais les garçons arrivèrent à lui faire écarter les cuisses. Brigitte s'était mise entre les jambes écartées d'Agnès et guidait déjà la queue énorme vers la fente de la jeune femme. Le Françou, déjà petit et tant sa bite était longue n'était étendu que sur les cuisses et le ventre d'Agnès, pour pouvoir entrer en elle. Sa face édentée était tout juste au niveau de ses seins. Cette position de l'homme sur elle, lui provoqua une forte répulsion. Quand d'habitude elle était prise ainsi à la missionnaire, c'était toujours par des hommes plus grands qu'elle, qui pouvaient lui rouler de patins pendant qu'ils s'introduisaient dans sa chatte... Là, c'était manifestement un nabot qui la sautait. L'expression était tout à fait juste. Il n'empêche, lorsqu'elle évoquait le membre Quasimodo de son cavalier, elle se sentait défaillir à la seule idée de l'avoir enfin dans son trou de femme.
La Brigitte, qui avait saisit le vit du Françou à pleine main, en agitait la tige pour que l'énorme bout se fasse un chemin entre les lèvres du con d'Agnès. Rapidement le gland démesuré, vint frapper à la porte ...