1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 05


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... Sa fente était ouverte et le trou du con, plus dilaté que jamais était béant. Elle contemplait la scène du godage de la Bernadette dans un état second dû à la fatigue, à l'ivresse qui l'habitait désormais et au surréalisme de la situation... La Bernadette se faisait pistonner et accompagnait de son bassin, le mouvement de va-et-vient donné par Hubert à la bouteille. Elle poussait des " hans " pour scander ses poussées vers l'avant de la bouteille que son con enfournait complètement :
    
    - " Oui, vas-y petit, là, c'est bon... Enfile-moi bien à fond...! Que je sente bien le goulot qui bute au fond...! Ah putain, c'est bien meilleur quand on me le fait!.... Je me le fais souvent, mais c'est pas pareil...! Pousse bien mon joli... Eh Armand, je boirais bien un coup, moi, j'ai soif bordel, c'est sans doute de décharger comme ça... Ah oui, un goulot enfoncé en bas et un autre en haut!!... " Et le godage continuait, sans précipitation mais avec régularité... Armand qui maintenant se substituait au patron, revenait avec une bouteille de vin jaune qu'il déboucha en disant :
    
    - " Françou, va en chercher quelques bouteilles et sert à boire à tout le monde! ". Puis il enfila le goulot dans la bouche de la Bernadette. Le breuvage coulait dans la bouche de la vieille femme qui l'avalait à longs traits. Elle but ainsi plus de moitié de la bouteille :
    
    - " Putain ça fait du bien!... Ca rafraîchit!... J'en avais besoin!... Bondiou, que c'est bon...! Allez petit, vas-y..., n'arrêtes ...
    ... pas, je sens que je monte...! ".
    
    Le Françou revenait et servait un verre à tout le monde et aussi aux femmes. Agnès avait elle aussi très soif et ne refusa pas le verre bien rempli que lui tendait le Françou. Elle en but une grande gorgée. Le vin était si fort qu'elle se mit à tousser et à s'étouffer. Cette première gorgée lui brûlait la gorge, la langue et le palais. Ce qu'Agnès ne savait pas c'est que ce vin jaune, très liquoreux pesait dans les 18 à 20 degrés d'alcool, ce qui le faisait ressembler à des liqueurs espagnoles. La tête lui tourna immédiatement. Elle but encore plusieurs gorgées, car les suivantes lui parurent moins violentes et moins agressives. Ce fut le Portugais qui fut atteint le premier : il retomba de tout son long sous le banc, assommé par l'alcool contenu dans les deux verres qu'il avait avalés. Puis Elise qui ne s'était pas méfiée du breuvage, se mit à tituber et ne resta debout que parce Adrien et Armand la tinrent entre eux, la pelotant et la branlant en face de la Bernadette. Celle-ci elle tenait le coup, car elle haletait de plus en plus fort...
    
    Le Françou, très éméché lui aussi, était venu derrière la Brigitte qui depuis un temps assez long maintenant, ne buvait pratiquement plus. Il lui passait son gros braquemart, dont on ne savait dire s'il avait débandé tant il était énorme, entre les fesses, se frottant à elle. Agnès qui avait toujours aussi soif, s'était affalée sur la table et la tête appuyée sur un coude regardait sans trop voir la ...