Une petite page d'histoire
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... hommages, car il faut que je vous quitte, d’autres personnes m’attendent, mais elles ne seront pas aussi agréables à contempler que votre mignon minois.
— Flatteur ! Je vous souhaite une bonne journée, Monsieur.
Après un dernier coup de chapeau, je sors de la pièce. Ma journée n’est pas finie et je sais qu’elle sera assez longue, avec ou sans future épouse en vue. Je sais parfaitement que je pourrais être le père de Louise-Françoise, mais il est courant dans notre siècle qu’un homme bien mature épouse une fraîche jouvencelle à peine sortie du couvent. De plus, d’autres personnes ont nettement pire que moi dans ce domaine, je songe au duc de Paramby qui pourrait être sans problème le grand-père de son tendron d’épouse, voire même son arrière-grand-père en supposant que tous les Paramby aient eu une vocation précoce pour la paternité !
Ai-je bien fait ? Mon intuition m’a-t-elle bien conseillé ? Je pense que je le saurais bientôt.
Le surlendemain, en début d’après-midi, je viens chercher ma réponse. Louise-Françoise m’attend comme convenu, mais cette fois-ci sans chaperon, ce qui m’étonne un peu. D’ailleurs, après mes salutations d’usage, je le fais remarquer à mon éventuelle future promise :
— Vous n’êtes point sous la coupe d’une Dame de qualité chargée de veiller à votre vertu ?
— Arrêtez de me taquiner ! De plus, avec mon garçonnet, ma vertu n’est plus qu’un lointain souvenir…
— Au moins, nous pourrons parler sans contrainte.
— C’est le but avéré, cher ...
... Monsieur.
Elle me désigne un siège, je m’y assieds, ayant posé mon chapeau sur le guéridon :
— Vous avez diverses choses à me demander ou à formuler ?
— La Reine-Mère a été surprise de votre initiative, d’autant que vous ne lui avez rien dit. Néanmoins, elle m’a parlé en bien de vous.
— C’est vrai que je n’ai pas averti ma Protectrice, mais pour ne pas fausser la donne, si vous voyez ce que je veux dire…
— Elle était ravie pour vous et pour moi.
— Donc, nous avons son approbation…
Cachant le bas de son visage, elle s’évente :
— Je ne crois pas vous avoir dit oui…
— En effet… vous n’avez pas dit oui… ni non…
— Si vous le voulez bien, j’aurais quelques questions à vous poser. Je sais bien que normalement, on ne demande pas aux filles leur avis sur la question, mais comme c’est à moi que vous avez demandé ma propre main, avant de m’engager ou pas avec vous, en tant que ma tutrice, je souhaiterais avoir quelques réponses à mes interrogations.
— Ça me semble légitime… je vous écoute, Madame.
Elle sourit, semblant être soulagée :
— Votre première réponse me permet d’oublier de vous poser diverses autres questions que j’avais en tête, votre supplice en sera plus court…
— Ce qui est assurément une bonne nouvelle…
Je vois qu’elle hésite, qu’elle tergiverse quant à la suite à donner. Je crois deviner son embarras, alors je la conseille à ma façon :
— Vous pouvez parler franchement, je suis difficile à vexer, et je comprends fort bien la difficile décision que ...