1. Une petite page d'histoire


    Datte: 20/07/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, amour, Masturbation pénétratio, fsodo, historique, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... vous avez à prendre. Jetez-vous donc à l’eau, je saurais vous repêcher sans attenter à votre honneur.
    — Merci, Monsieur.
    
    Elle respire un grand coup avant de lancer :
    
    — Excusez mon impudence, mais pourquoi moi ? Franchement ? Parce que je ressemble à vos précédentes épouses ?
    — Je mentirais en disant que c’est faux. J’ai naturellement une inclination pour un certain type de femme dont vous faites partie. Je vous en ai déjà parlé. Mais il n’y a pas que ça…
    — Que voulez-vous dire ?
    — Quand vous étiez la maîtresse du Roi, je reconnais que je n’ai pas fait beaucoup attention à votre personne. Une de plus, une de moins… Mais j’ai pu assister aux premières loges à ce qui vous est arrivé ensuite quand vous étiez enceinte, et j’ai été impressionné par votre dignité dans cette difficile adversité.
    
    Palissant un peu, elle ne répond rien, se contentant de me regarder. Je poursuis :
    
    — De plus, j’ai pu avoir des nouvelles de votre exil, nouvelles que j’ai communiquées à la Reine-Mère.
    — La Reine-Mère m’en a informé. Elle dit que vous l’avez devancée.
    — Oui, je voulais savoir pour ma Protectrice, car elle était concernée au premier chef, mais aussi pour moi. J’avais une intuition à confirmer.
    — Une intuition, Monsieur ?
    — Je ne saurais bien décrire celle-ci, mais je me suis dit en moi-même qu’il fallait que j’en sache plus sur vous. Ce que je me suis permis de faire, de loin.
    
    Lentement, Louise-Françoise abaisse son éventail, révélant le bas de son visage :
    
    — Et ...
    ... c’est vous que la Reine-Mère a dépêché pour venir me chercher, ce qui vous arrangeait, m’a-t-elle dit.
    — Elle a dit quoi d’autre ?
    — Que c’est vous qui avez souvent veillé sur mon enfant et aussi sur moi. Vous l’avez fait pour faire plaisir à la Reine-Mère ou… ou pour vous-même ?
    
    Je marque une petite pause avant de répondre :
    
    — Disons… les deux…
    — Cette réponse vous arrange bien…
    — Je pense que vous n’êtes plus une oie blanche, chère Louise-Françoise, puis-je me permettre d’être plus explicite ?
    — Tout dépend de ce que vous avez à me dire… car malgré le fait que j’ai connu le loup, je devine que ce n’était juste qu’un aperçu. Sans parler des arcanes politiques qui recèlent bien des choses étranges, voire épouvantables…
    
    À ces mots, je souris :
    
    — Ce ne sera ni politique ni épouvantable, Madame. Du moins je l’espère.
    — Alors je vous écoute avec attention.
    — Très bien. Alors, parlons bien, Louise-Françoise. Vous me plaisez beaucoup et ce, pour diverses raisons. Je me trompe peut-être, mais je crois déceler en vous un fort potentiel. Je ne suis plus tout jeune, et je serais bien faible d’esprit de passer à côté de l’opportunité que vous m’offrez.
    
    Elle est visiblement étonnée :
    
    — Moi, un fort potentiel ? En quoi ? Et si vous vous trompiez ?
    — Au moins j’aurais tenté ma chance. De plus, même si vous n’avez pas ce fort potentiel, je ne pense pas trop perdre au change.
    — En quoi aurais-je un fort potentiel ? Qu’attendez-vous de moi ?
    
    Je me penche un peu vers ...
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