1. Une petite page d'histoire


    Datte: 20/07/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, amour, Masturbation pénétratio, fsodo, historique, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... questions.
    
    Moins de trois mois plus tard, Henri-François est finalement mort des suites de ses blessures. La gangrène avait pu être stoppée momentanément par l’ablation du bras. Mais il était déjà trop tard, le mal avait diffusé dans tout le corps. Le rapport des médecins est formel.
    
    Quelque part, cette mort naturelle me convient. J’aurais été navré de donner l’ordre de simuler un accident. Car Henri-François voulait sa revanche, et commençait à nouer quelques contacts afin de préparer son retour. Il nous a été facile de mettre la main sur ces revanchards.
    
    Définitivement débarrassé de son frère, Charles-Henri courtise ouvertement sa veuve qui ne semble pas vouloir offrir une grande résistance. Et je pense que ça pourrait être une bonne solution : mettre le frère sur le trône en le mariant avec la Régente. Alors que nous sommes dans notre chambre, je m’en ouvre à ma femme qui a déjà ôté presque tous ses habits, ayant juste conservé un serre-taille et des bas :
    
    — Que diriez-vous si d’ici quelques mois, voire quelques semaines, nous ayons à célébrer un nouveau mariage ?
    — Je vois à qui vous faites allusion… mais c’était facile à deviner, car Charles-Henri n’a jamais caché son inclination envers la Reine. Et c’était déjà un peu réciproque dès le départ…
    
    Amusé, je demande :
    
    — Un peu ou beaucoup ?
    — Hélas, une femme ne peut pas toujours se laisser aller comme elle le souhaite…
    — Surtout si elle est mariée et Reine, n’est-ce pas ? Et vous, vous pouvez vous ...
    ... laisser aller comme vous le souhaitez ?
    
    Ôtant ses bracelets qu’elle dépose au milieu de la table, elle soupire bruyamment :
    
    — Hélas non, mon cher mari ! Il y a quelques Ducs, divers Comtes et aussi certains Marquis qui aimeraient faire plus ample connaissance avec mon décolleté ! Mais hélas, triple hélas, je suis mariée…
    — Que de votre décolleté ?
    — Et aussi de ce qui se cache sous mes jupons… si vous voulez tout savoir !
    
    Le vit en avant, je m’approche un peu plus de ma femme qui enlève à présent ses colliers :
    
    — Combien de paltoquets dois-je encore provoquer en duel pour sauvegarder votre honneur et le mien ?
    — Attendez que je compte, cher Maximilien… Pour l’instant, j’en compte au moins huit certains… et au moins quatre de plus qui tergiversent…
    — Je sens que, ces prochains jours, je vais être obligé de me lever un peu plus tôt pour aller les occire en duel au petit matin.
    
    Les yeux brillants, elle pose délicatement sa douce main sur ma joue :
    
    — Ne pourriez-vous pas m’en garder au moins un de ces malheureux, vivant et pas trop pantelant, afin que je me fasse la main ?
    — Vous ne voudriez quand même pas que je perde un combat ?
    — Je vous rassure tout de suite, mon cher mari, si pareille chose survenait, je prendrais le deuil en noir et je vous pleurerais longtemps…
    — Oui… tout en vous faisant consoler par divers galants !
    — Ah ça, il me faudra au moins trois ou quatre galants dans mon lit pour me consoler !
    — À tour de rôle ?
    — Vous vous gaussez, mon ...