Une petite page d'histoire
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
Masturbation
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... son appétit concernant les choses du sexe ! J’ai été bien inspiré !
Mais revenons à la reine…
Quand la Reine a accouché d’un petit garçon très robuste, le Roi n’a nullement refréné sa joie exubérante. Les fêtes furent grandioses. Le couple royal affichait un bonheur visible de tous. J’étais soulagé, tout allait bien.
Quand le second garçon est né, après une fille, le Roi n’a plus fait semblant, il s’est jeté aussitôt dans une course effrénée aux plaisirs de la chair. Il avait rempli son contrat, il avait donné deux garçons au Royaume. La première surprise fut la Reine, car son mari fit volte-face du jour au lendemain. Tous découvrirent qu’Henri-François était parfaitement capable de jouer la comédie. Depuis la naissance du second héritier, il ignore purement et simplement sa femme, s’affichant sans vergogne au bras de ses multiples conquêtes. Ce faisant, il a plongé dans l’inquiétude bon nombre de ses partisans qui se demandent jusqu’à quel point les marques d’estime sont vraies ou fausses.
La seule personne contente dans cette navrante histoire est Charles-Henri, son frère, qui s’est fait un plaisir de se rapprocher encore plus de la Reine Anne-Louise. Pour l’instant, il joue les chevaliers servants, mais je sens qu’il en faudrait peu pour qu’il joue les galants chanceux. Et que peut-être c’est déjà fait. De plus, je dois reconnaître que Charles-Henri aurait été un meilleur Roi que l’actuel. Mais il n’est pas né en premier. Néanmoins, il bruisse des rumeurs ...
... concernant le remplacement impromptu de l’aîné, les voies du Seigneur étant si… comment dire… si aléatoires.
Un peu chagriné par cette situation, je déambule dans les couloirs du palais. Il va falloir que j’en sache un peu plus et comment savoir placer mes pions. Fidèle parmi les fidèles du Roi, d’Anchighem me hèle peu après :
— Mertoncourt, auriez-vous un petit moment à me consacrer ?
Je suis un peu étonné, car cet homme ne me porte pas précisément dans son cœur et c’est assez réciproque, même si je ne dénigre pas sa valeur. Néanmoins, j’accède à sa demande. Nous nous isolons à l’abri des oreilles indiscrètes, et mon interlocuteur entre tout de suite dans le vif du sujet :
— Que pensez-vous du revirement du Roi envers la Reine ?
— Il lui avait été demandé d’offrir deux mâles à la Couronne, c’est ce qu’il a fait. Il se sent donc dégagé de ses obligations.
— Je suppose que c’est La Reine-Mère qui le lui avait demandé ?
— La Reine-Mère et les intérêts supérieurs du Royaume.
— Je vois. Mais je trouve quand même le Roi un peu cavalier. Il y a quelques mois, tout le monde croyait que nos souverains formaient un réel couple, et là, maintenant, nous découvrons qu’il n’en est rien ! J’ai cru au début que c’était passager, mais ça va faire quatre mois que cette situation dure.
Haussant des épaules, je joue les philosophes :
— Que voulez-vous. Nous découvrons, vous et moi, que notre Roi est bon comédien.
— Oui, j’ai vu ça…
— Et ceci vous inquiète ? Vous êtes pourtant ...