Surprenante Léonie - Histoires de Sexe

Surprenante Léonie

... que c’est la première fois que je trompe mon mari depuis dix ans. Mais lui ne s’est pas gêné, et c’est un peu une revanche pour moi.

Je la sens un peu crispée.

— Détendez-vous Léonie ! Laissez-moi m’occuper de vous, je vais vous faire beaucoup de bien.

Mes mains caressent doucement ses seins que je sors bientôt du soutien-gorge. Ma langue mutine passe et repasse sur deux petits tétins tous durs. Je l’embrasse partout en jouant d’une grande sensualité, avant de descendre lentement vers sa corolle. J’écarte doucement sa culotte et embrasse sa toison. Je la sens qui se décontracte peu à peu. J’en profite pour me délecter de ses effluves de femme mature. Elle a une odeur assez particulière que j’apprécie, qui me donne envie de pousser plus loin mes investigations. J’écarte ses chairs et rentre en elle avec une langue mutine.

Ce cunnilingus est un moment de vrai bonheur. J’adore sentir le plaisir monter chez ma partenaire et dans son cas il monte bien, par vagues successives, il se renforce, je la sens se cabrer et tous ses nerfs se tendre. Ma bouche se met au diapason de son ressenti qu’elle me fait partager, j’accélère ou ralentis suivant ses réactions, mais je la sens déjà tout au sommet de la vague et prête à exploser. Elle voudrait que cela continue, mais me demande paradoxalement aussi de la libérer, elle n’en peut plus, je la fais encore languir quelques secondes, mais c’est déjà trop tard, je sens sa jouissance arriver. Elle éclate en rugissant, avec une voix ...

... rauque et caverneuse, tout son corps se tend et est secoué de spasmes. Elle est tétanisée par le plaisir.

Je reste ainsi longtemps, la bouche coincée entre ses cuisses, le moindre petit bisou lui procure de nouvelles sensations, je ne me prive pas de la torturer par le plaisir.

Elle me prend finalement la tête et me demande de venir à elle :

— Viens, baise-moi, j’ai très envie de te sentir en moi.

J’enfile la capote et la prends de suite en missionnaire en regardant ses épais sourcils, elle me fait penser à une belle ténébreuse. Elle ferme les yeux et lorsqu’elle les rouvre, je m’aperçois qu’ils sont déjà presque révulsés. Nous faisons l’amour un long moment dans cette position, puis elle se tourne pour que je la prenne par derrière. Apparemment, elle apprécie beaucoup la levrette, car je l’entends gémir comme une malade, ce qui contribue encore à mon excitation. Cette étreinte est courte, mais bestiale. Nous jouissons de concert en nous exprimant à grands bruits.

Puis elle se glisse sous les draps et m’attire avec elle, visiblement, elle a besoin d’un gros câlin. Epuisés par cette étreintes nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

Une heure plus tard, je suis un peu surpris de me réveiller tout près d’elle :

— C’était très biens m’avoue-t-elle en poussant un long soupir.
— Pour moi aussis c’était très bien.

Elle m’explique alors que son mari la délaisse depuis des mois, qu’elle le soupçonne de la tromper avec d’autres filles, qu’elle en est ...