Surprenante Léonie - Histoires de Sexe

Surprenante Léonie

... devient trop propre…

Elle n’est pas dans la salle de bains. Je la trouve dans ma chambre… allongée de tout son long sur mon lit. Elle est en petite tenue, je n’en crois pas mes yeux. Elle porte bas, porte-jarretelles et soutien-gorge affriolant, le tout en dentelle noire plutôt chic.

— Mais, que faites-vous ? dis-je bêtement.
— Je vous attendais, je voulais vous faire une petite surprise, comme vous m’aviez dit que vous rentreriez plus tôt.

Pour une surprise, c’est une surprise et elle est de taille !

— Mais, si vous préférez, je peux me rhabiller.
— Euh… non… pas du tout.

Avec ses doigts, elle écarte alors sa culotte et dévoile une toison fournie, toute aussi noire que ses sourcils. Nul doute que ce n’est pas pour faire un scrabble qu’elle m’attendait dans cette position. Je m’approche alors prudemment et remarque qu’elle a pris soin de placer un préservatif bien en évidence sur la table de nuit. Ses intentions sont plus que claires. J’en suis vivement étonné, car jusqu’alors il n’y a jamais eu la plus petite ambiguïté entre nous.

— Je vous plais comme ça ? me demande-t-elle en écartant encore mieux sa culotte pour me montrer tout son sexe.
— Oui beaucoup, suis-je bien obligé de reconnaître, je vous trouve très excitante et très sexy (et c’est vrai qu’elle l’est pas mal).

J’adore les femmes en porte-jarretelles. Je remarque au passage que ses cuisses sont assez grosses et ses hanches plutôt larges. Elle tapote le matelas avec sa main et me fait signe ...

... de venir m’asseoir à ses côtés. Visiblement, elle a de la suite dans les idées.

Une femme qui s’offre, cela ne se refuse pas, je serais difficile de dire non. Alors je viens tout près d’elle sur le lit et pose ma main doucement le long de sa jambe. Visiblement elle n’attend que ça. Je remonte lentement jusqu’à son sexe et glisse ma main sur sa toison. Sa fourrure est excitante, je passe mes doigts dedans.

— Je dois m’excuser, j’ai lu votre courrier, m’avoue-t-elle tandis que je la caresse. Celui qui est dans la grande boîte.

D’un geste de la tête, elle me montre les papiers qui traînent par terre sur la descente de lit. Ah d’accord, je comprends tout, il s’agit d’une correspondance très chaude que j’entretiens avec diverses femmes. J’ignorais qu’elle ouvrirait cette boîte de Pandore. Celle-ci ne ferme pas à clef, et ne contient en fait qu’un grand tas de papiers. Je relis ces lettres de temps en temps. Certaines d’entre elles sont plutôt osées.

Cette coquine de femme de ménage était en train de les lire en m’attendant.

— Cela fait déjà un petit moment que je suis tombée dessus, ajoute-t-elle pour s’expliquer. Mais ma curiosité m’a joué un vilain tour, car ce courrier m’a beaucoup excité. Et, depuis que j’ai lu votre prose, j’ai très envie de vous.

Et maintenant que je la vois ainsi offerte sur le lit, je dois dire que cette envie est communicative. Je remonte lentement le long de son corps, ses seins sont mous, mais excitants.

— Je dois aussi vous avouer ...