-
Audrey, un stage très formateur
Datte: 19/07/2018, Catégories: Première fois Auteur: revasion, Source: xHamster
... du bien. C’est alors que j’entendis René se lever. Je tournai mon visage vers lui et rencontrai un homme dépité par ce spectacle duquel il était simple spectateur. Je lui souris, charitable, et lui fis signe de rester. Il s’arrêta et comme il me semblait ne pas comprendre je lui dis • — René, prends-moi en même temps… Je lus sa stupéfaction sur son visage. Visiblement, il n’avait jamais pris une femme à l’anus. Mon sourire l’encouragea et je l’entendis se déshabiller. Je repris ma chevauchée sur la queue de Roger, en ralentissant un peu pour ne pas jouir avant que René ne soit dans mon cul. Je sentis ses mains me saisir aux hanches, puis je sentis le contact de ses cuisses sous les miennes. Je sentis son gland chercher entre mes fesses. Il s’y prenait si mal que sa queue débandait. Alors, je dis à Roger de ne plus bouger et, le gardant dans mon vagin, je me retournai un peu pour saisir la queue de René qui était heureusement beaucoup fine mais aussi plus longue. Aussitôt, ce contact le réveilla et il banda à nouveau, mais je dus saisir mes fesses pour les écarter ...
... avant qu’il me pénètre en même temps que son copain. Je poussai un cri car René m’encula sans aucune précaution et me déchira l’anneau qui se détendit enfin pour lui laisser le passage qui était jusque-là interdit. Une fois la douleur estompée, je me cambrai pour l’inviter à me pénétrer plus loin et à me bourrer le cul sans ménagement. Ce sont les coups de queue de René qui imprimèrent alors le rythme de notre folle chevauchée. Mon cul le recevait et se mouvait sous la direction de sa bite en me poussant sur celle de Roger. Je sentais l’orgasme monter en moi et je ne pouvais le retenir, ne maîtrisant plus rien, étant la proie des bites de mes professeurs. Je partis dans une longue plainte de fauve qui dut réveiller une bonne partie de l’hôtel, jusqu’à en perdre connaissance, m’évanouissant entre les deux queues et les corps des deux quadragénaires. Je ne me réveillai que fort tard le lendemain matin, seule dans mon lit, le ventre et les cuisses encore souillés de leur semence. Avaient-ils joui en moi ? Je ne le saurai jamais. Mais que j’avais mal à mon petit cul…