Audrey, un stage très formateur
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Première fois
Auteur: revasion, Source: xHamster
... instinct de mâle. Mais ils n’osaient pas. Visiblement, ils se trouvaient devant une situation aussi inédite qu’inespérée.
Alors, perdant toute retenue, n’écoutant que mon désir, debout devant eux, je pliai mes genoux pour saisir ma robe et la remonter sur moi découvrant mes cuisses gainées par les bas tabac. Puis le triangle châtain de ma toison leur montra que leurs doigts sur mes hanches avaient bien lu l’absence de petite culotte. Je remontai encore ma robe, dévoilant ma poitrine nue elle aussi, et ma robe alla rejoindre le sol. Sans un mot, je m’installai entre eux sur le lit, je me tournai vers René, lui tendis ma bouche, et un baiser nous unit longuement sans que les deux messieurs n’osent quoi que ce soit sur moi tellement mon attitude les subjuguait.
Je décollai mes lèvres brulantes de la bouche de René pour me tourner vers Roger dont le visage s’illumina et je sentis aussitôt le picotement de ses grosses moustaches sur mes lèvres puis sa grosse langue qui vint aussitôt fouiller ma bouche. Dans sa fougue, qui me surprit, il m’entraîna sur le lit me couchant contre lui. Ses grosses lèvres que je croyais seulement gourmandes de saucisson et autres charcutailles me dévoraient la bouche et cela me plaisait. C’était mon premier vrai baiser avec un homme aussi âgé et, à ma grande surprise, j’aimais et je me sentais fondre partout.
Je glissai une main dans sa chemise dont les boutons craquèrent et je découvris son torse épais et velu. Mes doigts se perdaient dans ...
... ses poils tandis que sa langue m’explorait la bouche avec fougue. J’aimais cette grosse langue épaisse, sa salive abondante, la précipitation de son étreinte. J’eus envie de sentir son ardeur et ma main glissa sur son gros ventre adipeux que je caressai doucement tandis qu’il me mangeait la bouche. Je glissai mes doigts sur sa braguette que je défis habilement puis la boucle de sa ceinture et je sentis sous mes doigts sa force tendue. Je découvris son chibre qui me parut démesurément épais et large mais plutôt court.
Nous en oublions René dans notre folie, tandis que je caressais sa queue. Que ma main se faisait à son étrange configuration. Roger me fit basculer sur lui car je sentais qu’il ne supportait plus la pression de ma main sur sa queue et qu’il voulait me pénétrer. Je me laissais faire et me retrouvais à califourchon sur son gros ventre en tenant encore sa queue dans ma main.
Moi aussi j’avais envie de la sentir me pénétrer et aussitôt je me soulevai et la dirigeai contre ma vulve béante et trempée et aussitôt elle me pénétra entrant avec une facilité qui me surprit vu le diamètre impressionnant de l’objet. Je savourais cela avec délices et sentis le gland entrer puis pousser en moi. Je me redressai sur lui et la bite entra jusqu’à la garde dans mes chairs gluantes.
Je gémissais, heureuse de ressentir cette sensation qui m’avait tant manqué pendant six mois. Je me mis à chevaucher Roger pour mieux la sentir, pour mieux m’empaler sur cette queue qui me faisait ...