1. Audrey, un stage très formateur


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Première fois Auteur: revasion, Source: xHamster

    ... cela aux timides et inquisiteuses palpations de Roger sur mes hanches.
    
    Mais la musique s’arrêta vite, le dancing fermait vu le peu de nombres de clients. Arrivée à la table, je sentis une pointe de tristesse dans le regard de Roger qui me fit un peu de peine, il devait regretter de n’avoir pas profité un peu plus de la danse pour serrer contre lui une jeune fille comme moi, une occasion inespérée pour un homme comme lui…
    
    Puis, je me drapai dans ma fourrure et nous fûmes dehors dans le froid de l’hiver. Mon corps était brûlant, je regrettais les danses, je regrettais la compagnie de ces deux hommes aussi charmants qu’inoffensifs et une onde de tristesse m’envahit quand je fus de nouveau installée seule derrière dans la voiture. Très vite, nous arrivâmes dans le parking de mon hôtel, une panique s’empara de moi, j’allais encore me retrouver seule face à moi-même et à tous mes problèmes. Je leur demandai de venir encore discuter dans ma chambre car le hall de l’hôtel était fermé.
    
    Ils me suivirent dans l’escalier extérieur, cela commençait à me faire bizarre d’être suivie ainsi par deux hommes, qui auraient pu être mon père, dans ma chambre d’hôtel. Je me sentais prise de picotements au creux des reins, signe que la femme n’était pas définitivement effacée de mon corps même si mon esprit rejetait toute éventualité charnelle.
    
    La chambre étant très étroite, ils s’installèrent tous les deux sur le lit. Je passai dans les toilettes pour satisfaire un besoin pressant, les ...
    ... laissant tous les deux. Le gin fizz n’avait pas que fait effet sur ma vessie, je me sentais grisée par l’alcool et la présence de Roger et René, tout à côté, simplement séparés de moi par la frêle cloison, alors que je relevais ma robe pour m’asseoir sur le siège, cela me fit sourire et surtout me troubla. Je sentis mes tétons se dresser, imprimant mes pointes sur le tissu doux et léger de la robe. J’écartai mes cuisses et je sentis le jet chaud de mon urine faire un grand bruit dans la cuvette. Je me disais qu’ils devaient tout entendre et cela me troubla encore, si bien que lorsque je me suis essuyé la chatte, j’ai insisté et un liquide beaucoup plus épais imprégna le papier. Sous l’insistance de mes doigts, cela coula abondamment. Je n’en revenais pas de me sentir ainsi troublée.
    
    Pourtant, Roger et René n’avaient vraiment rien pour m’exciter mais l’envie était là, entre mes cuisses, et mes doigts la palpaient, la cultivaient, la faisaient monter jusqu’à la pointe de mes seins. Je serrais les cuisses, emprisonnant mes doigts qui devenaient poisseux. Je dus arrêter pour ne pas jouir et je me relevai prête à les rejoindre avec un trouble si profond que je sentais que j’avais besoin d’eux. J’avais besoin de ces deux mâles. Je me sentais pour la première fois depuis six mois femelle.
    
    J’ouvris la porte et les regardai, ils ne disaient rien, ils étaient là, me déshabillant du regard. L’attente à travers la cloison où j’avais mis si longtemps à faire pipi avait réveillé leur ...
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