1. Le ridodo


    Datte: 18/07/2018, Catégories: fh, hplusag, vacances, amour, cérébral, noculotte, Oral coupfoudr, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... comment te débarrasser de moi, ferme juste tes jolis yeux, trois secondes, et j’aurais disparu avant que tu les rouvres.
    
    Merde, ne pas cligner ! Ne pas baisser les paupières, surtout pas !
    
    — Mais si tu veux que je reste encore un peu, alors fais-moi juste… un petit…
    
    Signe ? Un petit signe ! Je ne l’ai pas laissé finir, j’avais anticipé. Je te lui ai collé un énorme, un gigantesque, un monstrueux patin de derrière les fagots ! Comment qu’on dit ? Une galoche à vous déchausser les molaires ! Et puis après, un baiser, et un bisou, re-patin, re-galoche, poutou, bisou, bécot, pelle, tout y est passé. Déchaînée ! Hystérique !
    
    J’avais réussi à me canaliser l’après-midi, mais là, fini la gentille, fini la patiente, la cajoleuse, l’enjôleuse !
    
    Place à la vorace, l’affamée, la déchaînée. La salope intégrale !
    
    J’ai troussé son polo pour l’envoyer valdinguer à travers la pièce, je t’ai repoussé mon Harold à deux mains pour l’allonger sur le canapé, j’ai fait voler ma robe et je me suis jetée sur sa ceinture. Que je n’ai évidemment pas réussi à défaire, bien sûr ! Harold a pris le relais. Et pendant qu’il finissait d’enlever lui-même son pantalon, j’ai fait tomber mon slip.
    
    Comme il avait encore le sien, j’ai grondé :
    
    — À poil ! Je veux ta queue !
    
    Obéissant, le Harold ! Et pas maladroit ! Il a viré en même temps slip et chaussettes !
    
    Je crois que je ne lui ai même pas vraiment laissé le temps de se rallonger que déjà, j’avais sa bite en bouche. À quatre ...
    ... pattes entre ses jambes, je m’étais emparée de son guignolot pas tout à fait réveillé encore. Mais avec le traitement que je lui ai prodigué, Popaul n’a pas tardé à reprendre des forces ! J’ai adoré le sentir grandir et grossir dans ma bouche, s’affermir entre mes lèvres et palpiter déjà sous ma langue. Ma petite langue de pute qui parcourait tous les reliefs granuleux de la peau, suivait le réseau de ses veines gonflées. Mes doigts titillaient ses grelots déjà resserrés, malaxaient doucement les boules mobiles. Je le pompais avec entrain, je lui grignotais le nœud. Harold râlait sous mes assauts.
    
    Brusquement, il m’avait saisi aux épaules, tiré vers lui.
    
    — Donne-moi ton adorable langue de pute, mets-la-moi en bouche !
    
    Le salaud ! Il me privait de sa queue pour profiter de ma langue et martyriser mes nichons. Et il ne voulait pas que ça. Quand j’ai essayé de m’échapper pour retourner déguster son poireau, il m’a encore bloquée :
    
    — Tourne-toi, je veux ta moule, je veux te brouter aussi !
    
    Y a pire comme exigence ! Tu parles que j’ai obéi !
    
    Têtes bêches, 69 d’enfer ! Langues affolées affolantes, sucions effrénées, doigts marionnettes agiles et indiscrets. Je le suçais, il me léchait, je le pompais, il m’aspirait, je le branlais, il m’enfournait ses doigts dans la chatte, me griffait, me fouillait, je le suçais encore, il avalait mon bouton !
    
    Glouton - gloutonne, le Diable de Tasmanie et la Hyène du Kamtchatka, ça grognait, gémissait, grognonnait à qui mieux mieux ...
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