Réveil des deux non amants - Histoires de Sexe

Réveil des deux non amants

... Marie-Claude n’était pas des plus confortables. Marie-Claude s’est appuyée contre le mur de la cabine et regarde la vendeuse en souriant.

— Pas mal du tout, tu es géniale et en plus tu es belle. Promis, je reviens tout à l’heure pour m’occuper de toi.
— Je fais ma pause à treize heures, on pourra aller chez moi, c’est à deux pas. Ce sera plus confortable. D’accord ?
— OK, à plus.

Marie-Claude sort de la cabine et part finir ses achats dans le centre commercial. Elle prend quelques slips pour Bébert, des chemisiers pour elle et, comme il est presque treize heures elle retourne vers le magasin de sous-vêtements retrouver son amante si douée. Elle l’aperçoit, attendant à la porte de la boutique, un peu inquiète de savoir si elle va venir. Quand elle voit Marie-Claude, un large sourire éclaire son visage. Elle s’avance vers Marie-Claude, lui prend la main et l’entraîne chez elle pour une pause casse-croûte un peu particulière.

— Comment tu t’appelles ?
— Marie-Claude et toi ?
— Patricia.
— Et bien Patricia, que mange-t-on à midi, je crève la dalle.
— Pizzas congelées réchauffées au micro onde. Pas de temps perdu comme cela.

Les escaliers qui conduisent au petit studio de Patricia sont vite montés et elles y rentrent rapidement. D’un geste, Patricia prend Marie-Claude dans ses bras et l’embrasse avec passion.

— Petite salope, tu m’as eue tout à l’heure, maintenant c’est à mon tour. Et ses mains plongent à leur tour dans les cheveux de Marie-Claude et elle ...

... lui tire la tête en arrière ce qui a pour effet immédiat de faire bander les seins de Marie-Claude. Patricia s’empare des tétons et d’une main experte elle les masse fermement.

Marie-Claude gémit et se croit revenue avec Joana. La même façon de caresser les seins et de faire monter le plaisir. Patricia est une experte et Marie-Claude n’arrive pas à reprendre le dessus. Doucement, lentement, Patricia s’empare de son corps, de son esprit et commence à la branler. Le plaisir monte dans les reins de Marie-Claude et, malgré elle, elle se met à suivre les doigts de Patricia, à les accompagner dans le mouvement de caresses. Son bas-ventre est en feu, sa chatte est mouillée et le désir l’envahit. Patricia est en train de la violer somme toute, mais elle aime ça et se laisse faire. Elle s’abandonne complètement au plaisir qui monte en elle et qui, du plus profond de ses tripes, est en train de générer un orgasme d’une rare intensité. Celui-ci la prend, debout, au beau milieu du salon et Patricia se met à rire.

— Oui, je t’ai eue petite prétentieuse ! Tu vois on est match nul maintenant et c’est à ton tour de me sucer. Je suis sûre que tu es douée pour ça. Viens, on va dans la chambre.

En disant cela Patricia se déshabille et se retrouve nue devant Marie-Claude qui en fait autant. Les deux femmes roulent sur le lit et se mélangent dans un corps à corps. Mais Patricia est plus musclée que Marie-Claude et elle l’épuise méthodiquement. Elle la force petit à petit à s’agenouiller ...