Réveil des deux non amants - Histoires de Sexe

Réveil des deux non amants

... toujours que tu aies raison, et comme c’est toi qui commandes, je n’ai qu’à obéir. Pas marrant tout ça.
— Allez, arrête de râler, et pense plutôt à la récompense. Je n’en vaux pas la peine ?
— Bien sûr que si Marie-Claude et, tu as raison ; de toute façon tout le monde me le dit au club.
— Tu vois bien, allez va faire le petit déj’, j’ai faim, pas toi ?
— Oh si, j’y vais ma princesse.

Bébert passe aussi aux toilettes et part rapidement vers la cuisine d’où, bientôt, monte une agréable odeur de café. Pendant ce temps, Marie-Claude finit sa toilette et s’habille légèrement c’est-à-dire sans le moindre sous-vêtement et les seins totalement libres de se balader sous son tee-shirt. Bébert apprécie mais il doit faire le service. D’office, il s’est remis à sa petite table et Marie-Claude approuve d’un hochement de tête. Il n’a pas encore gagné le droit de manger avec Marie-Claude. Le petit déjeuner fini, il part faire la vaisselle.

— Tu ne travailles pas ce matin ?
— Non je suis du soir, je finis vers vingt-et-une heures. Je serai de retour à vingt-deux heures le temps de boire un verre avec les amis et de nettoyer mon bus.
— Bon, et bien moi je vais sortir, ne m’attends pas pour te coucher, je n’aurai pas envie de te voir, je pense. J’ai prévu d’autres loisirs pour moi.
— Mais… Marie-Claude, tu ne peux pas me faire ça, j’ai besoin de te voir moi aussi.
— Non c’est comme cela, et quand je rentre, je veux que tu sois au lit entièrement nu, compris ?
— Oui oui, pas de ...

... problème.
— Bien et maintenant fais le ménage en bas, moi je vais finir ma toilette et m’habiller pour sortir faire quelques courses. À ce propos, donne-moi ton argent tu n’en as pas besoin. Garde cinquante francs, ça te suffira pour boire de l’eau minérale. N’oublie pas quinze kilos de moins avant de penser à me baiser. Allez file.

Bébert est parti faire son ménage et Marie-Claude remonte pour se faire une beauté à damner un saint ou une sainte ! Elle y passe plus d’une heure, ce qui a laissé à Bébert largement le temps de faire ce qu’il avait à faire. Quand Marie-Claude redescend, Bébert a juste fini son ménage.

— Bien maintenant tu vas faire en haut et astique bien ma chambre, elle est un peu crade. Quand tu auras fini, tu t’occuperas de toi mais, attention, pas de branlette en dehors de ma présence. Je saurai vite si tu m’as menti. OK ?
— OK Miss, euhhh Marie-Claude.
— Je préfère, oui.

Marie-Claude, moulée dans un jean blanc et ses seins couverts par un sweat bleu très moulant sort pour une longue ballade en liberté, sans but précis, si ce n’est acheter des slips d’homme qui soient de vrais slips pas des culottes.

Ah, la liberté c’est bon, mais avec un peu d’argent en poche. Bébert n’a pas pu lui en donner beaucoup mais elle est contente d’avoir ce peu. Elle n’a jamais été riche, alors mille balles en poche pour une journée, c’est royal.

— À moi la belle vie, mais c’est mon branleur de Kamel que je vois là. Alors comment vas-tu ?
— Bonjour belle dame, ...