Réveil des deux non amants
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
inconnu,
essayage,
hsoumis,
fdomine,
Masturbation
Oral
nopéné,
Auteur: Mariechriss, Source: Revebebe
La nuit a été bonne pour les deux amants, si on peut les appeler ainsi. Marie-Claude a particulièrement bien dormi et tout en se réveillant, elle pense à ses deux amants d’hier. Le jeune Kamel qui promet pour la quantité, la qualité, il faudra qu’elle lui apprenne beaucoup de choses. Mais il a l’air assez doué à vrai dire. Le vieux Bébert qui bande pour elle et sait si bien honorer le corps des femmes. Lui aussi, elle doit lui apprendre la patience, à faire monter le plaisir sans le faire aboutir brutalement mais plutôt le faire monter doucement, gentiment jusqu’à l’éclosion finale en une gerbe de sensations qui vous envahit de la tête aux pieds en passant par là où c’est particulièrement bon.
Machinalement, Marie-Claude a passé sa main sur sa chatte et cela l’a fait sursauter, elle a un peu mal mais ça n’a pas l’air bien grave, un coup de queue et c’est fini. Oui, mais qui. Elle s’est refusée à ses deux amants et, pour le moment, il ne lui reste plus qu’un gode. Mais… point de gode à l’horizon.
Elle pousse un grand soupir et, comme elle a envie de pisser, elle se lève et se dirige vers les toilettes. En passant, elle voit Bébert qui dort encore, la petite queue entre les cuisses velues et fortes. C’est vrai qu’il joue au rugby. À ces mots, Marie-Claude rêve, une idée est en train de germer dans sa tête pour aider son Bébert.Oui, ce serait bien pour lui… et pour moi aussi d’ailleurs, se dit-elle.
Et elle s’enferme dans les toilettes en souriant. Cinq minutes ...
... après, elle est sous la douche en train de se frotter et de faire disparaître les dernières traces de la nuit. Elle enfile le peignoir de Bébert et va le retrouver dans sa chambre pour le réveiller.
Elle hésite, coup de ceinturon ou coup de langue ? Finalement, elle opte pour un léger suçage de queue car, après tout, elle aime aussi ce genre de petit exercice matinal.
Bébert est vite dans un demi-sommeil et sa verge prend rapidement des proportions qui rendent l’exercice plus délicat. La bouche de Marie-Claude est juste à la bonne taille mais il ne faudrait pas beaucoup plus pour l’étouffer. Quand Marie-Claude sent la queue frémir, elle abandonne sa victime en lui intimant l’ordre de se lever et d’aller préparer le café et le petit déjeuner.
— Mais je suis attaché Marie-Claude, je ne peux rien faire comme cela !
— Viens ici que je défasse tes nœuds.
Bébert s’approche face à Marie-Claude, la queue en avant pour la provoquer.
— Reste où tu es et tourne-toi.
Ce qu’il fait avec grâce malgré un poids certain. Marie-Claude sourit mais reste sérieuse néanmoins. Elle défait la corde, lui enlève le bandeau et se recule pour l’admirer au réveil.
— Ouais pas terrible, il va falloir maigrir mon pauvre, j’ai pas envie de mourir étouffée le jour où tu me grimperas dessus. Au moins quinze kilos, et on commence aujourd’hui.
— C’est dur, quinze kilos, disons dix kilos.
— Non, quinze kilos pas un de moins ! Pas de coup de queue d’ici-là. Alors à toi de voir.
— Bon il faut ...