1. Randonnée en montagne


    Datte: 17/07/2018, Catégories: f, inconnu, bain, froid, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, uro, Auteur: Divine, Source: Revebebe

    ... : à de nombreuses reprises, ce salaud m’avait poussée à m’exhiber en public. Ce que mon ex adorait, dans ce genre de situations, c’était l’effet que ça provoquait sur moi. Être exposée ainsi aux regards m’excitait au point de lever mes plus profondes inhibitions. D’instinct, Fred avait compris le parti qu’il pouvait tirer - pour son plus grand plaisir - de ces avilissements à répétition…
    
    Évoquer ces souvenirs tumultueux, la fente à l’air et bien en vue, me troublait violemment. Des frissons remontaient dans mes reins, inondant mon ventre d’une douce chaleur, attisant l’envie de me faire jouir, là, en pleine nature. Un étrange état d’indolence avait pris possession de moi, me laissait sans défense face à mes pulsions, jusqu’à me faire oublier la plus élémentaire retenue. Cédant à ce conditionnement insidieux, je rejoignis la couverture.
    
    Allongée, cuisses écartées, je laissai glisser deux doigts vers ma motte soigneusement épilée avec toute la débauche dont j’étais capable. Ma main trouva bien vite le chemin de mon clito - je ne comptais ...
    ... pas m’éterniser. Et si Marc revenait, justement maintenant ? Que penserait-il du spectacle ? Au lieu de me freiner, cette pensée fit bondir mon excitation. Je fantasmai sur la réaction du pompier, l’imaginant en train de m’observer, avant de se dévêtir pour me rejoindre…
    
    J’en étais là de mes considérations, fermant les yeux pour mieux me concentrer sur mes caresses, quand un craquement sourd me fit me retourner.
    
    Debout derrière moi, à quelques mètres à peine, un homme m’observait. Je me relevai d’un bond, des picotements dans la nuque, les genoux flageolants. Je tirai instinctivement sur mon sweat, pour cacher ma toison perlée de mouille et d’urine - malgré mes efforts, j’étais bien loin des convenances.
    
    Je remarquai alors ce que ce type tenait à la main. Un poignard dégouttant de sang.
    
    Le cri rauque me revint en mémoire. Je hurlai aussitôt de terreur, vidant consciencieusement mes poumons au lieu d’employer cet oxygène à courir comme une dératée. Incapable de m’enfuir, brayant comme une dingue, j’étais scotchée sur place…
    
    À suivre… 
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