1. Randonnée en montagne


    Datte: 17/07/2018, Catégories: f, inconnu, bain, froid, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, uro, Auteur: Divine, Source: Revebebe

    ... le bas, je n’avais même pas une paire de jeans.
    
    Les rafales glacées et la proximité de toute cette eau aidant, ma vessie se rappelait à mon bon souvenir, me remémorant avec acuité le sens de l’expression « envie pressante ».
    
    Je cherchai Marc du regard, mais ne le vis pas. Il avait dû se déplacer un peu plus bas sur la berge. L’occasion pour moi de satisfaire un besoin qui, pour être naturel, n’en était pas moins source de tracas typiquement féminins. Je voulais un endroit suffisamment abrité des regards pour mériter que je m’y accroupisse, sans pour autant être trop éloigné des sacs, la proximité de notre camp de base me donnant l’impression rassurante d’être en terrain connu.
    
    Le problème, c’est que la zone environnante était découverte et ventée. Indécise, je me tortillais sur place, jetant de fréquents coups d’œil aux alentours. Avec mon short ridiculement mini et mon sweat trop juste, je devais avoir l’air d’une vraie cruche ! Espérant qu’aucun promeneur n’allait se pointer au moment crucial, je jetai finalement mon dévolu sur un large pin, qui me dissimulait un peu. Baissant d’un même geste short et culotte, je m’accroupis au pied de l’arbre pour uriner - en plein vent, ce n’est jamais une très bonne idée.
    
    Ayant pas mal traîné sur les plages nudistes, j’avais déjà eu l’occasion de me retrouver dans la nature, les fesses à l’air. Mais là, ce n’était pas pareil ; j’éprouvais un net sentiment de gêne, à me livrer ainsi à cet exercice intime au vu et au su de ...
    ... tout le monde. Tandis que je propulsais mon jet chaud sur un tapis de mousse et de petites fleurs mauves, j’avais la désagréable impression d’être observée par une armée de voyeurs. J’espérais qu’aucun de mes élèves, au moins, n’était du nombre…
    
    J’entendis soudain un bruit, tout proche, suivi d’un cri rauque. Avec un hoquet de surprise, je me relevai, pantelante, scrutant les fourrés avec anxiété. Personne… Pourtant, je n’avais pas rêvé !
    
    Une sensation humide au creux des genoux me fit baisser les yeux sur ma petite culotte, largement inondée.
    
    — Et chiottes ! fis-je, laconique, constatant l’étendue des dégâts.
    
    Dans l’affolement je m’étais redressée un peu vite, oubliant les bourrasques…
    
    Je pris le parti de quitter mon short et ma culotte. Comment allais-je me sortir de ce mauvais pas ? Remettre cette pièce de lingerie trempée dans mon sac ? Bonjour l’odeur ! L’abandonner sur place ? Zut, les tangas Lejaby, ça pousse pas sur les arbres ! Ma meilleure option était de rincer l’objet du délit dans le lac, quitte à me balader sans tout le reste du week-end, en espérant que ça ne se verrait pas.
    
    Puis je réalisai avec horreur que le micro short, choisi tout exprès pour cette virée avec Marc, me serrait justement là, à l’entrejambe. J’imaginais l’effet, sans culotte. La vulve parfaitement moulée par le tissu en stretch, j’allais être indécente en diable !
    
    Cette inévitable impudeur me replongeait dans mon histoire avec Fred, me rappelant certains de nos jeux débridés ...
«12...6789»