Centre de documentation
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... retrouve sur le bureau les cuisses ouvertes à 90°. Je ne suis plus que sensations. Il me caresse longuement et me bouffe la chatte. Je veux le sentir en moi et lui demande de me baiser. Il répond qu’il n’a pas de préservatif. Je m’en fous, j’en ai trop envie et puis ce n’est visiblement pas un coureur. Quant à moi, depuis la séparation d’avec mon copain, c’est le calme plat. Je me redresse, défais son pantalon et le prends dans ma bouche, sans trop insister. C’est ailleurs que je veux l’accueillir. Le tenant par le sexe, je l’entraîne avec moi tandis que je m’allonge sur le bureau. Il me baise enfin. Je perds la notion du temps. Je prends mon pied plusieurs fois avant qu’il gicle sur mon ventre. Je reste un moment à reprendre mes esprits. Il m’aide à me lever, me donne un baiser et m’emmène aux vestiaires.
En arrivant devant le lavabo, je me vois dans la glace, les seins au vent, les yeux cernés, les cheveux en bataille, le ventre barbouillé de foutre. Je réalise ce que je viens de faire, j’ose à peine me rappeler ce que j’ai dit pendant qu’il me ramonait. Jamais je ne m’étais offerte ainsi, mes quelques copains me trouvaient trop pudique ; s’ils m’avaient vue, ils auraient été bien étonnés. Je me suis conduite pire qu’une chienne en chaleur. La honte me submerge, je voudrais fuir, disparaître. Mes vêtements sont encore mouillés. Je ne peux même pas les enfiler, alors j’éclate en sanglots. Il se montre attentionné, c’est même lui qui me nettoie le ventre avant de ...
... m’emmener, enveloppée de sa serviette, à la cuisine. Il sert du jus de fruit alors que je reste plantée, toujours en pleurs et ne réussissant pas à prononcer trois mots compréhensibles de suite. Il s’assoit et me prend sur ses genoux, me câline, me berce presque. Je me calme doucement. Il me fait parler. J’essaie de lui expliquer mon impulsion, ce que j’ai ressenti en me voyant dans la glace. Mon moment de honte passé, je me sens bien dans ses bras. Une demi-heure plus tôt, je voulais fuir et ne jamais le revoir ; je veux maintenant faire durer ce moment. C’est lui maintenant qui a le blues : il n’avait jamais trompé sa femme. À mon tour de le réconforter.
À un moment, nos regards s’accrochent, nous nous embrassons et peu après je me retrouve accoudée sur la table, bien cambrée, en train de me faire sauter, sans remords, pour la deuxième fois de l’après-midi. Nous avons mis moins d’une semaine avant de recommencer. Moi qui étais si réservée question sexe, je fais avec lui des choses autrefois inimaginables. Sortir sans culotte. Baiser dans des squares, des cinémas, des toilettes publiques. C’est même moi qui ai demandé à être enculée, ce que j’avais toujours refusé catégoriquement à mes copains, trouvant ça dégoûtant.
Il y a un an et demi, j’ai rencontré un garçon de mon âge que j’ai épousé il y a neuf mois. On s’entend bien et on a plein de choses qui nous rapprochent ; mais il n’est vraiment pas porté sur la baise et, en plus, il est souvent en déplacement. Même avant le ...